lundi 29 septembre 2014

Malheurs climatiques



2014 (5989), mille neuf cent dix-neuf ans se sont passés depuis que l’apôtre Jean, sous la dictée de Yéshoua, écrivit le dernier livre de la Bible : l’Apocalypse, la Révélation des choses qui doivent arriver bientôt.
Or, voici qu’après bien des détours,  la Science moderne  nous confirme, mais un peu tard, ce que ce livre nous avait fait connaître longtemps d’avance.

 Ces derniers temps,  avec des accents alarmistes, les climatologues et autres fonctionnaires scientifiques débattent de sommet en colloque et  de séminaire en symposium sur les catastrophes présentes et à venir liées au réchauffement climatique.
Tout ce petit monde d’experts, transportés par voie aérienne, réunis et logés à grands frais, en est arrivé (avec  95 % de certitude scientifique) que le bouleversement des climats est attribuable aux activités humaines.  Fichtre !
Il va de soi que pour garder leur siège dans ces conférences, il convient de ne pas crier gare à pleins poumons,  de  ne pas accuser ni bousculer trop fort la monstruosité consumériste ;  d’où leur tiède  prudence d’incriminer aussi la pétomanie des  vaches. Faut-il rire ou en pleurer ?

Que de détours, de perte de temps, de gaspillage d’énergie, de papier, de salive et de matière grise pour découvrir scientifiquement ce qui était censé nous avertir depuis  1920 ans.
Tout commun des mortels qui lit la Bible en tenant pour vraies les Paroles entières de notre Seigneur Yéshoua au travers des deux alliances, doit s’interroger sur l’utilité douteuse autant que coûteuse de ces débats de spécialistes en  réunionite.
Lisant le message biblique, il apprend de la part de Celui qui a tout vu d’avance et  qui l’a fait savoir à Ses serviteurs (prophètes et apôtres) que le chaos final provoqué par « ceux qui détruisent la terre » ne sera pas une partie de plaisir.
Déjà depuis Moïse l’avertissement était solennel, en prenant à témoins le ciel et la terre.
Peine perdue. L’homme au cou raide ne se laisse pas avertir facilement.
Un constat : mieux vaut  parler à un mur  qu’à un monde séduit.

Plus rapidement et plus simplement que ces experts, découvrons donc,  sans perte de temps ni dépenses monstrueuses en kérosène, quelques exemples des catastrophes qui accompagneront la fin brutale de ce monde par une « ruine soudaine », qui surviendra en pleine euphorie : c’est-à-dire lorsqu’on criera « paix et sécurité ! » et que les chefs d’Etats s’enverront des cadeaux après l’exécution des deux témoins, qui leur auront fait entendre et sentir des choses désagréables, à commencer par la vérité biblique une et inchangée.
Citons quelques -unes  des plaies qu’il va falloir subir.
 Par exemple : le dernier des sept fléaux : « une grêle dont les grêlons pèseront un talent»  (1 talent = 49,2 kg !!)
Autre désagrément aussi, et de taille,  lorsque de nombreux hommes « rendront l’âme au bruit de la mer et des flots ». (Tsunamis gigantesques)
Ce ne sera pas plus rigolo lorsque « ceux qui affectionnaient des mets délicats se battront pour embrasser des fumiers » (bouffer de la m…).
Quoi d’étonnant puisque «  plus aucun  être vivant ne sera plus trouvé dans la mer »,  ni dans les eaux douces, « devenues amères »  et «  couleur de sang. »
Quant à la terre émergée, ce jardin jadis merveilleux, de ce « jardin de délices, ils en ont fait un désert ». Etc. etc.
Mais rassurons-nous ! Non pas à coup de raisonnements d’autruche  ni d’optimisme béat, propres aux nantis et privilégiés de ce monde qui, désirant  que ça dure encore longtemps, en arrivent à se mentir à eux-mêmes, mais plutôt en la promesse de Notre Créateur, du Seul qui n’a jamais menti.

Pour ceux qui ont du discernement, les premiers mots du livre de Tsfania (Sophonie) font comprendre que le Tout Puissant, dans Sa grande Bienveillance, endosse pour Lui-même  et à l’avance la responsabilité de la destruction totale que notre engeance va perpétrer sur la terre ; comme si Lui-même  pouvait être la source de tous ces malheurs qui viennent !!!  (Ce que croient entre autres les musulmans, imprégnés qu’ils sont de la nature plutôt haineuse de leur idole Allah).

Non. YHWH va renouveler  toutes choses selon Sa promesse, par un nouvel acte de création, un nouvel Eden terrestre, après que les hommes auront bu jusqu’à la lie le vin de leurs sottises religieuses et scientifiques,  s’étant pris pour des petits dieux, ayant rejeté « l’arbre de Vie » au profit de « l’arbre de la connaissance ». 
Ils auront investi toute leur confiance dans les moyens impressionnants que leur pseudo science leur a donnés,  à 100% oublieux qu’ils ne sont que des hommes, avec un sort égal à celui des bêtes, lesquelles au moins, ont l’humilité de crier à YHWH lorsqu’elles ont faim…

« Homme, libre penseur !  Te crois-tu seul pensant dans ce monde où la VIE éclate en toutes choses ?? »… (G. de Nerval)

Courage et persévérance aux nobles de la terre, qui vont s’inscrire comme citoyens de l’Israël de YHWH et sujets de Yéshoua , qui vont diriger leurs pas vers la porte étroite, en dépit des moqueries de l’insulteur qui trône sur l’autoroute de la perdition et dont les jours sont comptés.
C’est pourquoi il tremble, lui et ses anges.
Les signes de leur nervosité se voient à ce qui se passe un peu partout, religieusement parlant, dans les conflits qui éclatent un peu partout, entre nations, entre religions, entre les personnes, même  au sein d’une même famille, voire d’une même assemblée de croyants où on est  censé partager les mêmes espérances.




samedi 20 septembre 2014

« Tu ne te feras point d’image quelconque… »


 Alors que le tourisme religieux draine des milliers d’idolâtres pour admirer au plafond de la chapelle sixtine la représentation d’un dieu nu enveloppé d’un drap pudique et entouré d’anges naturistes, la question éternelle demeure posée de ce qu’est YHWH et qui Il est.

Ce nom, ce tétragramme imprononçable en lettres latines,  est l’adaptation d’un  nom,  également tétragramme,  en lettres hébraïques : יהוה, plus facile à prononcer mais avec deux options équivalentes : Yahvé ou Yahoa.

Il est la toute puissance,  l’intelligence et la bienveillance prodigieuses qui se manifestent au travers de la création universelle, la multiple et fascinante splendeur visible à l’œil nu par toutes les créatures vivant sur la terre ; créatures parmi lesquelles figure, depuis presque 6000 ans, notre espèce  aveugle,  ingrate et oublieuse.

Car  nombreux sont les humains qui ont oublié qu’ils ne sont RIEN en comparaison  de Celui qui les a faits... « Celui qui a fait l’œil ne verrait-il point ? »… « Qu’est- ce que l’homme pour que Tu prennes soin de lui ? »…

Hélas. Rendus athées par les duperies religieuses, nombreux sont ceux qui préfèrent tenir pour nul, voire inexistant,  Celui qui les fait naître, grandir, Celui qui les sustente, qui les fait respirer, manger et boire, dormir, aimer, compter le temps qui passe,  penser, espérer.
Somme toute, ils préfèrent se savoir seuls et abandonnés aux hasards d’un  destin douteux et livrés à eux-mêmes.

Cette attitude incrédule est  plus confortable quand on entend mener sa barque pour se faire « une place au soleil » en usant de tous les moyens que la liberté  (que YHWH leur a donnée) ,   même bâtir leur confort sur le malheur des autres.
Il s’agit, sans erreur de diagnostic, de cécité volontaire, ni plus ni moins.

Pourtant, Il s’est bien fait connaître et en termes clairs.
Bien après les premiers patriarches, cette Puissance de Vie - Maître de l’univers, Maître du temps, de l’espace  et de la matière-  avait pourtant répondu de vive voix à Moïse  avec une logique implacable, lorsqu’il  l’interrogea  pour savoir de la part de QUI il était chargé de communiquer Ses oracles  au peuple hébreu. La réponse fut : « Je suis ce qui EST ».
Point barre. Comment aurait-Il pu répondre autrement ?  La réponse est  courte, complète et sans réplique. 

NB. Voilà pourquoi Esaïe, en commençant la première page de son livre, dicté par YHWH, pousse la hardiesse jusqu’à déclarer :
« L’âne connaît la crèche de son maître et le bœuf connaît son possesseur
Israël ne connaît rien, mon peuple n’a point d’intelligence, … »


Sa carte de visite complète, et Son programme, Il les a communiqués en long et en large aux hommes, à plusieurs reprises et de diverses manières au travers de Son message unique et inchangé, par Ses serviteurs les prophètes,  puis enfin  par Son Messie, qu’il a fait naître et mourir au temps fixé,  au beau milieu du peuple vivant en Judée pendant la terrible occupation romaine.

Lui seul,  le Roi des Juifs (comme indiqué par Pilate sur le bois) qui a démontré ce qu’est être Juif,  a le pouvoir à présent de dire qui est Juif et qui ne l’est pas, car Il siège en personne à la droite de YHWH.

Par divers engendrements spirituels de génération en génération, passant au travers des siècles et des horreurs causées par les actions humaines, YHWH a permis que Son message, qui est la Bible, le livre le plus lu, mais aussi le moins compris et enseigné, soit véhiculé par des serviteurs fidèles,  des Juifs, toujours  et partout en petit nombre et sans puissance.
Traduit dans toutes les langues, il se retrouve intact et égal à lui-même au temps final.
« Heureux ceux  et celles qui y auront crû sans encore avoir vu » ce que YHWH prépare et comment il va agir quand Il va sortir de son silence prolongé.

Bonne prochaine Fête du Zikhron Troua à tous  sans cafouillage de date,  car sinon tous les rendez-vous de ce septième mois seront loupés par ignorance volontaire de ceux qui ont pris le rôle d’enseigner,  en dépit du quadruple signe des tétrades qui, en « 2014 » et « 2015 », signes qui  accompagnent  les rendez-vous de la Pâque et de Souccot des deux années consécutives.  


N.B.  Plus de 200 fois, le message biblique comporte des dates précises au jour près. C’est donc que le respect des dates précises fixées par YHWH pour Ses rendez-vous solennels a de l’importance à Ses yeux.