samedi 28 mars 2009

Informations complémentaires relatives au signe de la pleine lune.

Chers Amis,

Comme la Pâque est toute proche, nous attirons votre attention sur le respect précis des dates qui sont d’une importance capitale, s’agissant de rendez-vous solennels fixés et ordonnés par le Seigneur du ciel et de la terre। Rendez-vous qu'il ne faut pas rater.

Genèse 1 : 14« Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue des cieux, pour distinguer le jour et la nuit, pour marquer les rendez-vous des fêtes solennelles, les jours et les années. »
Genèse 1 : 16
Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand pour gouverner au jour, le plus petit pour gouverner à la nuit.

Psaume 104 : 19
Il a fait la lune pour marquer les solennités (
Moadim). Le soleil sait quand il doit se coucher.

Conclusions.
Sur les quelque trente aspects journaliers cycliques que prend notre satellite au cours de la lunaison, un seul correspond au verset 1 : 16 de la Genèse, cette phase est celle de la lune pleine qui préside à la totalité de la nuit, ainsi que le soleil préside bien évidemment à la totalité du jour.
La lune entière marque directement ou indirectement toutes les dates des rendez-vous solennels des fêtes sacrées ordonnées à Moïse.
Directement : pour la nuit de la Pâque et pour la fête des Souccot, respectivement les quinzièmes jours du premier et du septième mois.
Pour la Pâque, c’est en effet de cette nuit mémorable qu’il est question dans le Psaume 81 : 4 à 6.
Il est stupéfiant de constater, dans toutes les versions françaises et anglaises de ces trois versets, des erreurs incompréhensibles de traduction qui font désigner le même rendez-vous solennel à deux moments différents de la lunaison : nouvelle lune et pleine lune.
Il s’agit donc de choisir quelle est la bonne traduction. Seul le texte original hébraïque est explicite. Voici l’unique et vraie traduction de ces trois versets :

81 : 4
Sonnez du Chofar dans le mois
A la pleine lune
Au jour de notre fête.
81 : 5

Car c’est une loi pour Israël
Un jugement du Dieu de Jacob
81 : 6

Un témoignage en Yehossef
Quand il sortit contre le pays d’Egypte…
Il est évident que cet évènement se rapporte précisément à la nuit de la Pâque.
Pourquoi, dans ces traductions erronées, parler de trompette ou de cor au lieu du Chofar, ou parler de nouvelle lune ? Expression qui n’est mentionnée dans aucun passage des textes originaux, lesquels désignent les premiers jours des lunaisons :
soit par l’expression : « tête du mois »
soit par : « le premier jour du mois »।

Ce que le langage moderne définit par l’expression « nouvelle lune » en Français ou « new moon » en Anglais, est la phase lunaire de la conjonction, totalement invisible, de l’alignement terre – lune - soleil.

Cet instant a lieu en plein jour quand le soleil est pratiquement à son zénith. C’est lors de cette phase qu’il peut se produire une éclipse de soleil. On est loin de la phase lunaire qui préside à la nuit.
Il est impensable que l’Eternel fasse marquer les jours précis de ses rendez-vous en démarrant le comptage à partir d’un signe complètement invisible. Surtout en ce qui concerne les trois fêtes majeures et solennelles (Pâque – Shavouot et Souccot) pour lesquelles Il a ordonné que les hommes du peuple montent et se rassemblent à Jérusalem.

La Pâque et Souccot sont donc directement accompagnées du signe plein et parfaitement visible.
Shavouot se calcule par comptage de cinquante jours à partir du shabbat qui suit la Pâque, endéans les sept jours des azymes. Shavouot tombe toujours un dimanche (premier jour de la semaine). C’est de cette fête qu’il s’agit dans Luc 6 : 1. C’est un shabbat second - premier