samedi 14 février 2009

LES MENSONGES RELIGIEUX DEVOILES PAR LE CALENDRIER NATUREL

Terminé fin 2007, ce travail collectif résume les résultats de vingt ans de recherches bibliques, libres de toute obédience religieuse ou laïque, sur la chronologie exacte du Messie juif Yéshoua, surnommé « Jésus-Christ » dans les milieux chrétiens et « Yéshou » dans la tradition juive.

Son titre annonce une découverte originale communicable à tout un chacun dans ce monde complètement déboussolé par les dogmes trompeurs, comme en témoigne l’état général actuel de notre planète agonisante.

Un cri d’alarme ! Mais aussi l’annonce d’une promesse bienveillante, assortis d’une analyse qui rétablit le comptage du temps selon les ordres divins communiqués à Moïse et aux prophètes d’Israël, au travers de la Torah et des autres textes de la Bible.

Une mise à jour de la vérité prophétique en concordance avec la vérité historique, reposant sur les seuls textes des deux alliances confondues.
L’une et l’autre ne font qu’Un seul message universel du Créateur pour le salut qu’Il propose à tous, à prendre ou à laisser.

Il va apparaître maintenant d’une manière évidente que la parole de Dieu, dictée aux prophètes et qui est le plus beau message du monde, a été au cours des siècles tronquée, manipulée, falsifiée, tordue à dessein par les traditions dites judaïques et chrétiennes officielles.
Chacune agissant selon son intérêt, elles l’ont rendue illogique et inaccessible au plus grand nombre.
Et ce, avec un tel zèle dévoyé, sinon criminel, que la plupart des gens s’en sont éloignés au moins méfiants, souvent dégoûtés, ou encore rendus athées par dérision.

La crise mondiale qui nous frappe tous confirme brutalement l’aberration et l’échec de tous les modèles successifs qui ont conduit à l’impasse totale nos sociétés humaines.

Vu la fin très proche du compte à rebours qui nous est imparti, le moment est venu de remettre les pendules à l’heure et par la même occasion reconnaître que, contrairement au monde des religions, le Dieu suprême et unique n’est ni menteur, ni dissimulateur, ni amateur de mystères.

Certes, ce travail sera peut-être accueilli par des réactions hostiles de la part des superstitieux, puisqu’il remet hautement en question des doctrines fantaisistes largement répandues.
Néanmoins, il apporte l’espérance de voir se réaliser sous peu une promesse majeure lorsque, avant le jugement devenu inévitable, un petit reste rassemblé (le « peuple à naître ») rendra gloire en actions en esprit et en vérité au Dieu unique, appuyé par sa Droite, Yéshoua, le sauveur du monde comme son nom hébraïque le signifie.

Nous espérons trouver chez vous quelque curiosité ou intérêt pour le sujet sensible ainsi abordé, et sommes dans l’attente de vos remarques éventuelles sur toute erreur que nous nous empresserions de reconnaître, mais seulement selon la seule référence des textes bibliques.

Adresse de contact :
Daniel DACHY
POB 8587 Emek Refaïm
91084 JERUSALEM
ISRAEL

Email:   michele.and.dany@gmail.com



















Les mensonges religieux dévoilés



par le calendrier naturel :



Enquête.










INTRODUCTION
La terre entière, notre vaisseau cosmique, est le résultat d’un acte de création gigantesque assorti d’une immense bonté. Notre belle et unique planète, grouillante de vie et remplie de splendeurs, a été confiée à l’homme, accompagnée d’une loi de respect.

Il aurait fallu que nous en prenions soin, comme usufruitiers, pour toutes les générations qui devaient se succéder dans le bonheur, la liberté et l’abondance, jusqu’au terme des temps impartis.

Tous coupables, nous avons fait un enfer de ce milieu paradisiaque. Il est donc urgent de se réconcilier avec le Donateur, pour ne pas subir le sort de l’enfant jeté avec l’eau de son bain.

Ce petit ouvrage est à la fois un cri d’alarme pas comme les autres, un message d’espoir et un pavé dans la mare, lancés à la face d’un monde qui a perdu tout sens de la réalité.

Il est encore trop tôt pour désespérer mais vu le peu de temps qui reste, nous avons délibérément choisi de ne pas mettre de gants.

Les longs plaidoyers ne sont décidément plus de mise puisque 6000 ans n’ont pas suffi aux hommes pour faire leur apprentissage de fils de Dieu et de créateurs.

Notre espèce, rebelle à la sagesse et livrée à ses propres penchants, en est arrivée à une telle situation qu’on en vient à appeler mal ce qui est bien et bien ce qui est mal.

La question à cinq centimes posée dans le proverbe de Salomon (1 :22) est cependant claire pour nous tous :
« Jusques à quand, stupides, aimerez-vous la stupidité ? »Le ton du franc-parler et de la polémique est justifié pleinement. Il vaut mieux dire ce qui est vrai en lâchant çà et là quelques gauloiseries que débiter des mensonges en les enrobant de belles phrases dans le style rasoir du prêchi-prêcha.

Sans aucune valeur littéraire, l’enquête est présentée dans sa plus grande partie sous la forme d’une conversation qui roule sur le sujet biblique entre un novice, ignorant mais animé d’une saine curiosité, et un lecteur libre et assidu de l’Ecriture sainte.

Certes, beaucoup de dents vont grincer. C’est normal et c’est un risque à prendre, puisque le but est de secouer et émouvoir ceux qui, encore nombreux, avec un cœur sincère et bien disposé, cherchent désespérément le bout du tunnel.

Désespérément est l’adverbe qui convient, car il n’y a aucun espoir de s’approcher de Dieu par le biais des théories religieuses dogmatiques, instruments de contrôle et de domination sur les masses.

Ce modeste travail va faire apparaître le fossé, désormais infranchissable qui, depuis des siècles, n’a fait que s’agrandir entre le Dieu vivant et les pouvoirs politico-religieux du monde.

Il est presque inconcevable d’en être arrivés à faire les constats suivants :
- Le Dieu des religions n’existe pas ;
- Un vrai croyant ne peut-être religieux ;
- Un religieux ne peut être véritablement croyant.

Près de 6000 ans de parasitisme ont fait de notre race humaine un monstre d’ingratitude voué au néant, à moins de se tourner enfin vers Celui qui seul peut encore sauver. Ce qu’Il va faire encore une fois, en vertu de sa promesse, sitôt après le chaos mondial qui se prépare, ou plutôt que nous nous sommes tous préparé.


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Pourquoi ce titre provocateur ?
Ce sont les religions, toutes confondues, qui font usage de provocation. Chacune est, dans son genre, une sorte d’insulte à la face du Dieu suprême, du Créateur.
Si, véritablement, le Dieu unique est vivant et tout puissant, où est le respect qui lui est dû dans ce monde de carnaval, infantile et superstitieux ?
Pour aller à l’essentiel et pour faire court, disons tout d’abord que cette petite thèse repose au départ sur la certitude qu’Il EST, qu’Il a parlé à plusieurs reprises et de plusieurs manières par ses serviteurs les prophètes, puis par sa Droite, qui s’est faite fils d’homme.

Cette étude fera apparaître que le Dieu unique et fidèle ne s’est pas moqué du monde et qu’il tiendra ses promesses. Elle s’adresse aussi bien au monde religieux qu’au monde dit athée. Toute simple, elle va ébranler beaucoup de convictions religieuses et laïques.
Le temps est venu où les habitants de la terre vont se faire apostropher par le message unique et inchangé du Dieu vivant.


Qu’appelez-vous le message de Dieu ?Ce sont les 66 livres canoniques de la Bible, ni plus, ni moins.
Il totalise un millier de pages et est disponible dans toutes les langues pour le prix du papier et sans droits d’auteur.

Il n’est pas question d’y ajouter un mot, une lettre, ni d’en retrancher un seul trait de lettre, ainsi qu’il l’est solennellement recommandé dans les quatre dernières phrases du 66ème et dernier livre qui est l’Apocalypse de Jean.

Les seules choses à rectifier sont les erreurs, volontaires ou non, des traducteurs religieux.
Aussi vrai qu’il y avait deux tables de la Loi, la Bible, reposant sur les deux alliances, se suffit à elle-même pour révéler tout le plan divin.
Le message est resté Un et égal à lui-même, sans l’ombre d’une contradiction.

Que l’on ne s’y trompe pas ! Le Messie, le Juif Yéshoua, n’est pas venu apporter une nouvelle doctrine. C’est la Torah elle-même, enseignée par les anges dès la sortie du jardin d’Eden et rappelée par écrit à Moïse, qu’il est venu, en son temps, accomplir de manière parfaite pour se qualifier, en tant que fils d’homme comme Seigneur de la terre et s’asseoir à la droite du Dieu suprême.

Psaume 110 : 1 et 4
De David.
Paroles de l’Eternel à mon Seigneur :
« Assieds-toi à ma droite,
Jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied. "


« Tu es sacrificateur pour toujours à la manière de Melchisédek. »

Pourquoi d’emblée parler de mensonges religieux quand il ne s’agirait peut-être que d’incompréhension ?Pourquoi l’Ecriture parlerait-elle de long en large de ceux qui détiennent la vérité captive, de pasteurs de néant, de conducteurs aveugles ?

A l’adresse de quoi ou de qui le troisième commandement est-il donné ?

« Tu ne prendras pas le nom de l’Eternel ton Dieu en vain, car l’Eternel ne laissera pas impuni celui qui prendra son Nom en vain. » (Exode 20)Qui peut bien viser le verset suivant ?

« Car ils te nomment à l’appui de leurs desseins criminels ; eux, tes adversaires, invoquent ton nom pour le mensonge.» (Psaume 139 : 20)Pourquoi soudainement les religions et sectes officielles qui ont, de longue date, réussi à s’imposer commercialement parlant, au point de devenir des religions d’Etats, reconnaîtraient-elles comme vérité immuable des écrits qui les condamnent ?


Pourquoi la vérité aurait-elle été verrouillée, interdite d’accès et donc incomprise depuis si longtemps ?Parce que le monde n’en a jamais voulu. Ce n’est qu’au temps de la fin que la connaissance des prophéties sera descellée, le Livre lu librement et enfin compris, ainsi que l’Eternel le fait savoir
d’avance au Prophète Daniel.

Daniel 12 : 4
« Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles et scelle le livre jusqu’au temps de la fin. Beaucoup alors le liront, et la connaissance augmentera. »

Qui va se charger d’annoncer au monde entier cette nouvelle étonnante si ce n’est les religions ?Les deux derniers prophètes de l’Eternel, les deux témoins dont il était déjà question dans Zacharie 4 : 14 et annoncés dans Apocalypse 11.

Zacharie 4 : 14
Et il dit : « Ce sont les deux oints qui se tiennent debout devant le Seigneur de toute la terre. »

Apocalypse 11 : 3 à 12
« Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant 1260 jours.
Ce sont là les deux oliviers et les deux chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre.
Si quelqu’un veut leur faire du mal, du feu sort de leur bouche et dévore leurs ennemis ; et si quelqu’un veut leur faire du mal, il faut qu’il soit tué de cette manière... »
C’est le genre de verset qu’il faut lire avec discernement et non à prendre au premier degré.

Il ne s’agit donc pas de deux clowns-mendiants cracheurs de feu.
Ils vont recevoir, pendant exactement mille deux cent soixante jours, la puissance de l’Esprit nécessaire à l’accomplissement de leur travail et seront invulnérables (comme le Messie le fut) pendant les jours qui leur sont impartis.
A la suite de quoi ils seront tués à Jérusalem, subissant le même sort que celui de nombreux prophètes de l’Eternel qui les ont précédés.
Dieu ne déclenche rien sans avertir, c’est pourquoi il donnera à ses deux témoins le pouvoir de prophétiser et d’envoyer son ultime avertissement.
Médiatisé comme il l’est devenu, le monde entier aura pu prendre connaissance du message dans sa stupéfiante beauté et sa désarmante simplicité, sans interprétations quelconques ni compromis.


Pourquoi seront-il tués ?
Parce qu’animés par l’Esprit, ils auront eu la hardiesse d’annoncer au monde une chose qui n’a jamais été agréable à se l’entendre dire : la vérité.
Il va de soi que leur annonce va détruire tous les dogmes et rites, tant religieux que laïques, qui mènent le monde par leurs œuvres de tromperies.


Quelle prétention ! Quelle outrecuidance ! Auriez-vous l’audace de soutenir que vous détenez la vérité ?Les auteurs de cette recherche ne sont que des hommes ordinaires, tout aussi menteurs et inconstants que leurs semblables. Ils n’ont aucune prétention de détenir personnellement la vérité. Leur unique but est de prouver que seule la Bible, à l’exclusion de toute autre approche, rétablit la vérité unique, vivante, celle qui affranchit et nous donne plein espoir pour notre avenir.


Comment osez-vous déclarer qu’un livre si ancien, si maintes fois traduit, imprimé et étudié n’ait pas été compris ?

Parce que trois conditions sont à remplir pour le comprendre et apparemment, ce n’est guère le cas depuis longtemps.
- La première est de savoir lire.
- La deuxième est d’avoir l’amour de la vérité en soi et de redevenir comme un enfant. En
réalité, nous sommes tous des enfants dont les rêves ont été cassés, anesthésiés par un monde
gouverné par l’avarice, et dont l’économique est le seul évangile.
- La troisième est de croire de tout son cœur que la Bible est la parole du Dieu vivant et partant, se conformer aux dix commandements rappelés à Moïse dans :

Exode 20
« Je suis l’Eternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de servitude.
Tu n’auras pas d’autres dieux devant mes faces.

Tu ne te feras pas d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Tu ne te prosterneras pas devant elles, et tu ne les serviras pas ;
Car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants
jusqu’à la troisième et quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde
jusqu’à la millième génération envers ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.

Tu ne prendras pas le nom de l’Eternel, ton Dieu, en vain ; car l’Eternel ne tiendra pas pour
impuni celui qui prendra son nom en vain.

Souviens-toi du jour du shabbat, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage.
Mais le septième jour est le jour du shabbat de l’Eternel, ton Dieu ;
Tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton
bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes.
Car en six jours, l’Eternel a fait les cieux, la terre, la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le septième jour : c’est pourquoi l’Eternel a béni le jour du shabbat, et l’a sanctifié.

Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Eternel, ton
Dieu, te donne.

Tu ne tueras pas.

Tu ne commettras pas d’adultère.

Tu ne déroberas pas.

Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain.

Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras pas la femme de ton
prochain ; ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui
appartienne à ton prochain. »
Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est par la lecture libre de la Bible que l’on aperçoit, par comparaison avec les enseignements religieux, les interprétations et accommodements qui ont entraîné un monde supposé croyant dans la confusion.


C’est une grande justice que le plan divin a pu échapper à la vanité intellectuelle, moteur de toute hiérarchie religieuse et laïque.

Par ailleurs, aucune science, même parmi celles dites exactes, n’aurait pu révéler ce plan ou donner la moindre clé de sa compréhension avant le temps fixé.
C’est l’Eternel qui donne l’intelligence ou la retire, quand Il veut, à qui Il veut et à la dose qu’Il veut.

Matthieu 11 : 25
Yéshoua prit la parole et dit :
« Je te loue Père, Seigneur du ciel et de la terre de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les a révélées aux enfants. Oui, Père, je te loue de ce que tu l’as voulu ainsi. »
Nous l’affirmons ici :

1. C’est seulement par la lecture libre de la Bible et en réunissant les trois conditions énoncées deux pages avant que la précision prodigieuse des prophéties va apparaître au temps de la fin.
2. Pratiquement toute l’Ecriture est prophétique, depuis la première phrase de la Genèse jusqu’à la dernière phrase de l’Apocalypse.
3. L’Ecriture confirme qu’il fut révélé à tous les prophètes que ce n’était pas pour eux-mêmes qu’ils étaient les dispensateurs de ces choses, mais pour le temps final.


De quelle fin nous parlez-vous là ?
De la fin du monde. De l’abolition définitive de cette horreur économique qui prend tout, qui détruit tout, qui déchire tout et qui ne laisse rien derrière elle, condamnant à mort ses propres enfants et la vie elle-même sur terre.

D’une manière allégorique, cette dernière civilisation et surtout cette dernière génération, la nôtre, née au lendemain de la deuxième guerre mondiale, est présentée sous la forme de la quatrième bête décrite dans Daniel au chapitre 7.

Daniel 7 : 7
Après cela je regardais pendant mes visions nocturnes, et voici une quatrième bête, terrible, effrayante et extraordinairement forte ; elle avait de grandes dents de fer ; elle mangeait, brisait et foulait aux pieds ce qui restait ; elle était différente de toutes les bêtes précédentes et avait dix cornes.
Dans ce même livre de Daniel, l’effondrement de la statue aux pieds d’argile, rêvé par Nébucadnetsar annonce la même chose : la mise à l'arrêt du système qui détruit la terre, qui n’a aucun avenir et n’en mérite aucun.



Annoncez-vous la fin du monde apocalyptique ?
La destruction de la terre par cette civilisation mercantile est en soi un spectacle et une situation assez désolants pour encore y ajouter de la confusion dans les esprits par les mots que l’on emploie.
Il est urgent de rectifier le sens des termes lancés par les médias car nous sommes tous envahis par la désinformation :

Primo : Apocalypse signifie révélation. Au contraire de susciter une quelconque inquiétude, ce mot invite chacun à aller voir ce que ce livre révèle.
Secundo : Le monde, dont la fin est annoncée, n’a rien à voir avec notre milieu de vie. La fin du monde est la fin du tango avec le diable dans lequel les nations se seront laissées entraîner jusqu’à anéantir la vie sur terre.
Tertio : La destruction de la terre, c’est évidemment ce qui se déroule sous nos yeux à un rythme effrayant et démentiel. Nous y participons tous de diverses manières :

- soit comme acteurs et complices intéressés, bâtissant notre confort sur le malheur des autres,
- soit comme acteurs passifs, indifférents et ignorants, (l’ignorance est bien souvent un choix),
- soit comme spectateurs affligés, impuissants et résignés,
- soit comme victimes pures et simples.


Comment y échapper ?
En se désolidarisant du monde, de cette société corrompue jusqu’à la moelle par l’idole de l’argent, qui est Mammon, et sortir de là affermis par l’avertissement et la promesse donnés et répétés dans l’ancienne et la nouvelle alliances :

« Sortez de Babylone mon peuple, afin de ne pas participer à ses péchés, ni prendre part à ses fléaux. »
(Esaïe 48 : 20 et Apocalypse 18 : 4)

Il ne s’agit plus de la Babylone antique mais de celle qui gangrène le monde actuel.
Jusqu'à la fin, une planche de salut aura toujours été tendue par Dieu à ceux qui Le révèrent en esprit et en vérité.
Il est grand temps, pour ceux qui sont empreints d’un idéal de justice, de sortir de ce monde d’esclaves, de cette foire aux gogos, où tout est déterminé par la violence, l’intérêt économique, la méchanceté et la sottise religieuse. Le monde vit sous la tyrannie de toutes ces choses.

Ceci rejoint le « Discours de la servitude volontaire » d’Etienne de la Boétie qui, à l’âge de vingt ans, 500 ans avant nous, avait tout compris.


Quels pessimistes vous faites !
Au contraire ! Optimistes et confiants dans le sauvetage de la terre et le renouvellement de toutes choses que l’Etre suprême va opérer en faisant cesser toute cette horreur, au temps marqué.

La délivrance arrivera à la fin d’un compte à rebours prédéterminé. Il est grand temps que ce compte se termine car du nord au sud, de l’est à l’ouest, les ressources naturelles, les espèces vivantes tendres et vulnérables de notre belle planète sont malmenées, pillées, outragées, assassinées sous le règne de l’argent drogue, le maître absolu de notre civilisation moribonde.

Gérée comme un bordel de garnison, la terre entière devient chauve et se transforme à vue d’œil en dépotoir, sur lequel on continuerait à se taper dessus encore longtemps…Et ce, jusqu’aux sommets illimités que pourrait atteindre la méchanceté humaine, livrée à elle-même et à ses penchants.

L’excellente nouvelle est que le Dieu Créateur a prévu de stopper notre autodestruction qui, par dessus le marché, nous aura à tous coûté très cher.


A qui ou à quoi attribuer le mal qui se commet à une telle échelle ?
L’instigateur initial est l’esprit du mal et le père du mensonge. Satan lui-même, l’Archange de lumière, celui qui était, dans le jardin d’Eden, le Chérubin protecteur décrit dans :

Ezéchiel 28 : 12 à 19
« Fils d’homme, prononce une complainte sur le roi de Tyr !
Tu lui diras : Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel :
Tu mettais le sceau à la perfection, tu étais plein de sagesse, parfait en beauté.
Tu étais en Eden, le jardin de Dieu ; tu étais couvert de toute espèce de pierres précieuses, de sardoine, de topaze, de diamant, de chrysolithe, d’onyx, de jaspe, de saphir, d’escarboucle, d’émeraude et d’or ; tes tambourins et tes flûtes étaient à ton service, préparés pour le jour où tu fus créé.
Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées ; je t’avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu ; tu marchais au milieu des pierres étincelantes.
Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu’à celui où l’iniquité a été trouvée chez toi.
Par la grandeur de ton commerce, tu as été rempli de violence et tu as péché ; je te précipite de la montagne de Dieu et je te fais disparaître, chérubin protecteur, du milieu des pierres étincelantes.
Ton cœur s’est élevé à cause de ta beauté, tu as corrompu ta sagesse par ton éclat ; je te jette par terre, je te livre en spectacle aux rois.
Par la multitude de tes iniquités, par l’injustice de ton commerce, tu as profané tes sanctuaires ; je fais sortir du milieu de toi un feu qui te dévore, je te réduis en cendre sur la terre aux yeux de tous ceux qui te regardent.
Tous ceux qui te connaissent parmi les peuples, sont dans la stupeur à cause de toi ; tu es réduit au néant, tu ne seras plus à jamais ! »
Il était chargé de veiller sur l’homme et de l’instruire des merveilles de Dieu, de Sa Création et de Sa Loi parfaite.
Jaloux et envieux de l’homme, à qui Dieu réserve un statut de fils et de créateurs, il a corrompu ses voies et a tiré les ficelles du monde en séduisant les hommes par ses ruses, jusqu’à en devenir le maître absolu.

Job 1 : 6 à 8
Or, les fils de Dieu vinrent un jour se présenter devant l’Eternel, et Satan vint aussi au milieu d’eux.
L’Eternel dit à Satan : « D’où viens-tu ? ».
Et Satan répondit à l’Eternel : « De parcourir la terre et de m’y promener. »
L’Eternel dit à Satan : « As-tu remarqué mon serviteur Job ? Il n’y a personne comme lui sur la terre : c’est un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal. »

Matthieu 4 : 8 et 9
Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire, et lui dit : « Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m’adores. »
Yéshoua lui dit : « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul ».

Luc 4 : 5 et 8
Le diable, l’ayant élevé, lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et il lui dit :
« Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes : car elle m’a été donnée, et je la donne à qui je veux. Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à toi. »
Yéshoua lui répondit : « Il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul".

Innombrables sont les hommes qui sont devenus, consciemment ou inconsciemment, ses esclaves ou ses agents, ses complices volontaires ou involontaires.

Le baryton de service le chante à pleines cordes vocales dans l’opéra Faust :
« Le veau d’or est toujours debout ! .… Et Satan conduit le bal !... »La deuxième phrase est reprise par le chœur d’une manière tonitruante, fortissimo. (Très impressionnant !)

Séduits et amorcés par la convoitise, c’est par troupeaux entiers et par autoroutes à huit bandes que les moutons de Panurge que nous sommes, nous engouffrons dans les voies qui mènent à l’impasse, au malheur, à la catastrophe planétaire.

Tout cela avec une insouciance béate, comme celle que partageaient les constructeurs, l’équipage et les passagers du Titanic en 1912 lors de son voyage inaugural. Un insensé avait solennellement déclaré que même Dieu ne pourrait pas le couler… Il avait même fait graver cette phrase quelque part sur la coque !
Un certain glaçon, détaché de la banquise à temps et à heure, était au rendez-vous au moment où le navire voguait à pleine vapeur de ses cinq chaudières et où la fête battait son plein dans les salons de premières classes.


Donnez-nous des exemples de ruses et de tromperies par lesquelles Satan s’est rendu le maître du monde.Les principales sont les religions. Celles-ci constituent les cibles faciles et privilégiées du malin, étant donné leur bonne intention, au départ, de s’approcher de Dieu et de Sa vérité.
Satan les a transformées petit à petit en instruments de duperie et de domination.
Elles ont toutes été séduites comme Eve le fut dans le jardin d’Eden et ainsi, ont tordu et falsifié le message divin.

Allégoriquement, les religions sont représentées dans la Bible par les « femmes » ; ce qui a fait croire à des esprits obtus que Dieu est misogyne. Elles ont tant séduit les esprits faibles qu’elles les ont entraînés en masse dans la superstition.

Le constat fait par SPINOZA, remarquablement exprimé dans son "Traité théologico-politique", peut se résumer comme suit :
L’homme est une espèce étonnamment influençable en fonction de ses réussites ou au contraire de ses malheurs.
Tantôt les situations de réussite le remplissent d’orgueil et de jactance, jusqu’à lui procurer un sentiment de sagesse qui le rend inapte à recevoir le moindre conseil, fût-il le meilleur.
Tantôt le malheur et l’adversité le font basculer dans un état de crainte qui lui fait demander en suppliant tout conseil et le fait suivre tout avis, quel qu’inepte, absurde et inefficace qu’il puisse être.
C’est ici que s’amorce la tendance à la superstition et aux dogmes fantaisistes auxquels l’homme vulgaire s’accroche comme à une bouée de sauvetage.

Voici en outre une citation de l’historien Quinte-Curce dans son Histoire d’Alexandre (le Grand):
«Nul moyen de gouverner la multitude n’est plus efficace que la superstition. »
Viennent ensuite les doctrines philosophiques, politiques, économiques et même, à la limite, scientifiques, dont beaucoup d’hommes ont fait leur propre religion.
Nous arrivons au moment où tout va être remis à plat devant la loi parfaite d’un Dieu qui ne vieillit pas, qui ne gâtifie pas, ne sachant soi-disant plus ce qu’Il raconte.


Vous devez reconnaître pourtant que si la science, lorsqu’elle est mal appliquée, peut détruire beaucoup, elle peut aussi réparer et améliorer beaucoup de choses !
Que l’on ne s’illusionne surtout pas en se faisant croire qu’il est encore temps de sauver la terre, que la science arrivera au secours pour la sauver ; ou encore, qu’en votant pour les Verts aux élections ou en ratifiant une belle charte écologique mondiale, nous allons soi-disant pouvoir empêcher le naufrage.
C’est se gargariser de jobardises. Il est trop tard. Il faut l’admettre. Cessons une fois pour toutes de nous mentir à nous-mêmes.

Un minimum de 30.000 tonnes de CO2 viennent d’être dissipées rien que pour la dernière mise en scène du G8 en Allemagne.
Tous ces personnages VIP, déplacés avec leur nombreuse suite par de monstrueux transports aériens pour faire de belles phrases stériles sur un développement durable et faire croire avec optimisme que les choses bougent positivement… C’est tout simplement indécent.

Au dernier salon du Bourget, des milliers de jouisseurs chauvins sont venus frémir d’orgueil et d’admiration à la vue du porte drapeau de l’aviation civile européenne, l’A 380, dont un seul décollage transforme en CO2 et autres dérivés, tout l’oxygène que fournit en un jour une forêt comme deux fois celle de Fontainebleau.

Alors que la terre entière agonise, la Russie, qui n'est plus qu'une mosaïque de maffias dont le parrain suprême est le ploutocrate Vladimir Putin, nous présente la dernière née en armement : une super bombe dite conventionnelle, qui brûle tout ce qui vit et qui bouge dans un énorme rayon d'action.
Mais, explique le galonné de service, cet engin est respectueux de l'environnement…!
De tels propos cyniques, qui devraient susciter une réaction générale d'indignation, ont été reçus et digérés illico dans un monde devenu aussi méchant qu'amorphe et colloïdal.

En dépit de sa maîtrise de la technologie, l’homme va prendre soudain conscience qu’il n’est qu’homme et qu’il a un sort identique à celui des bêtes. Il ne sied pas à l’homme de se prendre pour un dieu tout en se comportant comme un étranger et un pillard.

Matthieu 6 : 10
« Que ton règne arrive. Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. »

Ces mots impliquent que la volonté de Dieu n’est pas encore accomplie. Acceptons avec humilité et confiance que croire en l’homme, c’est se jeter de la poudre aux yeux.
C’est au Seigneur de toute la terre, au Créateur seul, qu’appartient le pouvoir de sauver Sa création.

Esaïe 43 : 11 à 13
« C’est moi, moi qui suis l’Eternel,
Et hors moi, il n’y a point de sauveur.
C’est moi qui ai annoncé, sauvé, prédit.
Ce n’est point parmi vous un dieu étranger ;
Vous êtes mes témoins, dit l’Eternel,
C’est moi qui suis Dieu.
Je le suis dès le commencement,
Et nul ne délivre de ma main ;
J’agirai : qui s’y opposera ? »



Pourquoi s’en prendre si catégoriquement à la science et aux multiples progrès qu’elle a amenés ?
Il faut bien, hélas, constater que la science, dans ses applications et malgré elle, est au service du mal et n’a rien de philanthropique.
Dans son livre visionnaire « La danse avec le diable », le génial Gunther SCHWAB (1957) met en évidence la stratégie du prince du monde pour tromper et séduire.

Le diable parle :
« La connaissance intellectuelle en soi n’est pas une valeur morale de la vie. Sans le respect des lois qui unissent l’homme et le monde vivant, elle conduit à cette ruse avec laquelle l’homme cherche à tromper la vie. J’ai besoin de cette connaissance comme décor, afin de dissimuler la vie derrière elle.
Et plus ce décor est coloré et multiple, mieux c’est. Je laisse la science aux hommes comme tranquillisant, comme sécurité apparente, comme drogue. Ils en tombent d’autant mieux dans mon piège. Car rien ne peut tromper la nature, pas même la science. »
Exemple d’une des ruses les plus vicieuses : la manipulation génétique des organismes végétaux. Les trusts alimentaires les plus puissants sont en train de nous préparer une famine mondiale … pour se remplir les poches !

Finalement ce qui est appelé la science est à mettre au rang des religions. Elle débouche sur une voie sans issue dès qu’elle est dépourvue de conscience.

Si Gunther SCHWAB a ciblé très justement les experts officiels et les technologues sans conscience de l’industrie, d’autres esprits clairvoyants l’ont aussi observé bien avant lui.

MOLIERE dans « Les Femmes Savantes » nous fait savourer cet échange de répliques entre Clitandre et Trissotin le savant :

Clitandre : -…J’aimerais mieux être mis au rang des ignorants
Que de me voir savant comme certaines gens...

Et c’est mon sentiment qu’en faits comme en propos
La science est sujette à faire de grands sots.
Trissotin : - J’ai cru jusques ici que c’était l’ignorance
Qui faisait les grands sots et non pas la science !
Clitandre : - Vous avez cru fort mal. Et je vous suis garant
Qu’un sot savant est sot, plus qu’un sot ignorant…
Nous pouvons citer ici plusieurs exemples ultra modernes moins risibles de cette science sans conscience.

- Nous avons clairement entendu qu’un expert en climatologie a mis en cause la pétomanie des vaches pour expliquer l’effet de serre ! Quelle manière délicate de se dédouaner des milliards de tonnes de CO2, sans parler de la chaleur latente des procédés thermiques de l’industrie et des transports.
-Dernièrement, dans un article de plusieurs pages d’une revue scientifique, qui ne se veut pas humoristique, des experts préconisent la mise en orbite de parasols gigantesques pour donner de l’ombre à la terre et ralentir son réchauffement. Cela s’appelle climato-ingéniérie et ces idées sont débattues dans des symposiums et congrès d’experts.


Comment voulez-vous arrêter le progrès ?
Ce qu’on appelle progrès s’accompagne d’une telle régression morale qu’il débouche sur une iniquité monstrueuse qui se généralise.
Comment ne pas être indigné en voyant un paysan de pays pauvre se déplacer à la vitesse de son âne et cultiver la terre pour 2 $ par jour alors qu’au-dessus de lui, passe un avion de ligne chargé de jouisseurs, volant à 900 km/h. L’un pour fêter un anniversaire, l’autre pour quelque cérémonie ou loisir, d’autres pour aller faire des phrases dans un symposium sur le réchauffement climatique…
A moins que toute cette bande de Dupont-Lajoie ne soit en route pour Phuket (fucket) : lieu de débauche et paradis pour pédophiles, où débarquent des foules de touristes by air mail…
Quelle honte !

Le diable sait que les raisons de louer le progrès ne manquent pas. Surtout en matière d’alimentation moderne pour carnivores.
Prenez l’exemple des vaches folles.
Ne sont-ce pas des experts diplômés en agronomie et médecine vétérinaire, sans aucune conscience, qui se sont mis en tête, voici peu de temps, à faire muter les vaches d’herbivores en carnivores en les nourrissant à la farine de charognes ? Pourquoi attribuer la folie aux vaches ?

Ce dernier exemple nous permet au passage de faire un constat général : l’homme dit civilisé, à l’égard des animaux de boucherie et de bien d’autres, n’est qu’un nazi.

Pour qu’un citoyen pépère occidental, trop bien nourri, puisse dévorer sa ration démesurée de viande bien tendre, un paisible animal a été élevé dans des conditions épouvantables, dans l’exiguïté et l’obscurité. Quand il a survécu au stress, empêché de crever à coup d’antibiotiques et bourré d’hormones gonflantes ; il est malmené et traîné cruellement à la mort.

Ne parlons pas des expériences abominables sur les animaux de laboratoire. C’est trop horrible.
La bestialité est bel et bien le propre de l’homme.
Quand la cupidité et la bassesse règnent partout, le respect n’est nulle part.

L’orthodoxie capitaliste, qui sévit partout à présent dans le monde, ne sait tout simplement pas ce que signifie le mot respect. Par contre, il est question partout de respectabilité et politiquement correct.
Nous nous devons ici de rappeler le poème magnifique :

Vers dorés de Gérard de Nerval :
Homme ! - libre penseur - te crois- tu seul pensant
Dans ce monde où la vie éclate en toute chose :
Des forces que tu tiens, ta liberté dispose,
Mais de tous tes conseils, l’univers est absent.
Respecte dans la bête un esprit agissant : …
Chaque fleur est une âme à la nature éclose ;
Un mystère d’amour dans le métal repose ;
« Tout est sensible ! » - Et tout sur ton être est puissant !
Crains dans le mur aveugle un regard qui t’épie
A la matière même un verbe est attaché…
Ne la fais pas servir à quelque usage impie !
Souvent dans l’être obscur habite un Dieu caché ;
Et comme un œil naissant couvert par ses paupières,
Un pur esprit s’accroît sous l’écorce des pierres !

Certes, le monde ne va pas bien mais pourtant, selon certaines doctrines religieuses, nous serions sous le règne du « Christ » depuis 2000 ans et Satan serait déchu et lié.
Qu’en est-il ?
De qui se moque-t-on ?
Si le monde, comme il va, était déjà sous le règne du Messie, alors il faut croire qu’il s’est mis en congé de maladie ou qu’il dort ; qu’il est en voyage ou occupé par quelqu’autre affaire.
Si Satan est bel et bien lié, il faut croire que ses liens sont bien élastiques.
Comment peut-on enseigner et croire de telles niaiseries ?
Il restera le maître du monde jusqu’à l’entrée du Shabbat millénaire, période pendant laquelle il sera lié. C’est en termes on ne peut plus clairs que l’on peut le lire dans :

Apocalypse 20 : 1 et 2
Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l’abîme et une grande chaîne dans sa main.
Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans.
Mais en attendant, se sachant jugé par l’holocauste, le sacrifice total, souffert volontairement par le Messie juif, il séduit de plus belle les habitants de la terre pour les entraîner dans sa déchéance avant la fin de son temps.
Satan est encore, pour un peu de temps, hors du temps. Cela paraît paradoxal. Or, c’est seulement lorsqu’il sera précipité sur terre, chassé du trône de Dieu, qu’il sera assujetti, comme les hommes, à la contingence du temps.
Comprenant alors qu’il a peu de temps, il investira, avec toute sa puissance de séduction mensongère, l’homme du péché : celui qui passera, tout d’abord, aux yeux des nations pour le sauveur de la situation économique et écologique, - comme si ces deux choix allaient de pair ! - et qui se révèlera soudain le dictateur mondial qui fera périr des multitudes de gens paisibles. Ce sera la grande tribulation.

Apocalypse 13 : 7
Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints, et de les vaincre. Et il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation.


Daniel 8 : 24 à 26
Sa puissance s’accroîtra, mais non par sa propre force ; il fera d’incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints.

2Thessaloniciens 2 : 3 à 11
Que personne ne vous séduise d‘aucune manière ; car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, et qu’on ait vu paraître l’homme du péché, le fils de la perdition, l’adversaire qu s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu.
Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j’étais encore chez vous ?
Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu’il ne paraisse qu’en son temps.
Car le mystère de l’iniquité agit déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu.
Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Yéshoua détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement.
L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l’iniquité pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés.
Aussi, Dieu leur envoie une puissance d’égarement, pour qu’ils croient au mensonge.
Nous pouvons en quelques mots résumer le raisonnement du Malin avant son jugement :
« Je vais crever mais pas sans en entraîner un maximum avec moi. »

En 1944, le monde a vu des Hitler, Himmler et autres nazis tenir les mêmes pensées démentes.


A propos d’Holocauste, que répondre à l’interrogation combien désespérée du peuple juif : où était Dieu pendant la Shoah ?
La Shoah est certes la souffrance la plus monstrueuse endurée par le peuple juif au cours de toute l’Histoire jusqu’à présent.

Mais déjà la même question aurait pu être posée aux époques noires que furent les Croisades, l’Inquisition et les Pogroms.

Il est clair que le Malin n’a eu de cesse d’agir pour susciter, par tous les moyens, l’éradication du peuple juif qui est l’olivier franc, le peuple choisi par Dieu pour y faire naître son Messie et pour tenir ses oracles jusqu’au bout, jusqu’au repos millénaire, le grand shabbat, le Chilo.

Genèse 49 : 10
Le sceptre ne s’éloignera point de Juda, ni le bâton souverain d’entre ses pieds, jusqu’à ce que vienne le Chilo.
Son but, sans cesse poursuivi, est d’empêcher la réalisation de la prophétie finale qui est le greffage des païens sur les racines originelles que sont les Juifs, au moment où ceux-ci reconnaîtront celui qu’ils ont percé. Alors aura lieu leur réconciliation avec le Créateur, dans un seul esprit, avant la délivrance promise.
Satan a allumé, depuis des millénaires, la haine antisémite, en tablant sur la sottise et la méchanceté humaines. Autant dire qu’il a eu partie facile.
L’antisémitisme a beau être analysé sous toutes ses coutures ; cette aberration mentale ne peut qu’être téléguidée par un puissant esprit du mal. Depuis longtemps, il ne fait que corrompre spirituellement une quantité industrielle de méchants hommes, dépourvus de finesse d’esprit, de bonté naturelle et prêts à tomber dans son piège d’accusateur.

Ainsi, celui qui a inspiré aux chefs religieux juifs de faire périr le Messie, en leur faisant croire qu'ils rendaient un culte à Dieu, est aussi celui qui a inspiré aux dignitaires « chrétiens » l’idée ridicule du « peuple déicide ».
Quelle foutaise! Quand on sait que les souffrances et le rejet qu’allait endurer le Messie étaient annoncés d’avance, et sont écrits en toutes lettres dans la Torah, les prophètes et les psaumes ! Textes de référence supposés connus du monde juif et du monde chrétien!

La question de savoir où était Dieu pendant le déroulement des horreurs de la Shoah ne se pose donc pas. Ceux qui la posent, montrent leur ignorance sur l’identité de celui qui, jusqu’à la fin de son rôle malfaisant, dirigera le monde.

La montée actuelle de l’antisionisme relève de la même duperie. C’est du même tonneau! L’accusateur y veille et travaille les esprits avec une facilité déconcertante. Les esprits sont si malléables que des chefs d’états occidentaux, en donneurs de leçons mal inspirés, s’affichent coiffés d’un keffieh. L’antisionisme s’accompagne d’un soutien rampant pour les dictatures arabo-musulmanes, surtout quand il y a du pétrole en jeu. Cette danse du ventre obséquieuse va bientôt s’arrêter.


Toutes les religions sont-elles à mettre dans le même sac ?
Les trois religions monothéistes, en approches humaines au départ bien intentionnées vers un Dieu qui se tait après avoir tout révélé, ont dégénéré tôt ou tard, sous l’inspiration du Malin, en aberration, voire en abomination.

AINSI IL EN FUT de la religion juive, qui a conduit ses chefs au rejet, à la trahison et à la mise à mort du Messie. Ce rejet perdurera jusqu’à la fin, car le judaïsme traditionnel continue à pratiquer à l’égard de ce Juif par excellence et de ses apôtres, un véritable négationnisme.

Ne pouvant pousser le ridicule jusqu’à nier son existence historique, les historiens religieux juifs se bornent à le considérer tout au plus comme un magicien et un meneur, fils bâtard d’un légionnaire romain.
La trahison et la condamnation du Messie fut inspirée à l’aristocratie du temple comme ce que fut la révolte de Koré dans le désert, à l’égard de Moïse. Révolte inspirée d’une part par la jalousie devant la grâce et l’autorité que Dieu lui avait données et la peur de perdre ses avantages personnels et sa respectabilité face au peuple.

AINSI IL EN FUT de la religion catholique romaine dont les papes ont, par intérêt économique, lancé les croisades : expéditions belliqueuses et conquérantes, composées de pillards et d’assassins. Le prétexte de cette « mission sacrée » prêchée à ces jobards était de venger la mort du Christ et délivrer son tombeau qu’ils étaient tous supposés savoir vide !
Croyant lui rendre un culte, ils n’ont fait que massacrer et piller tout sur leur sinistre parcours.
Rien n’a été négligé tout au fil de l’Histoire pour persécuter et faire même périr les descendants du peuple « déicide ».
Après les bûchers de l’Inquisition, cette secte a ensanglanté « au nom du Christ » toute l’Amérique du sud puis a continué,tout au long de son histoire, à perpétrer des crimes, des complots, des guerres de religions, sous la conduite de papes tantôt empoisonneurs, tantôt débauchés et très souvent belliqueux. Presque deux mille ans de mensonges et d’obscurantisme n’ont pu que se prolonger jusqu’à l’attitude complice passive de Pie 12 face au nazisme.

En principe, cette institution ne devrait déjà plus exister depuis plusieurs siècles, puisqu'à un moment de son histoire, deux papes ennemis se sont mutuellement excommuniés avec tous leurs adeptes. (Rideau !)
Lire à ce sujet « La chronologie des papes » de Jean-Mathieu ROSAY (1988).

La troisième est l’Islam, religion qui touche près de deux milliards d’individus.
Que faut-il en penser ?
Cette religion, inventée plus de 500 ans après que fut écrit le dernier livre de la Bible : l’Apocalypse de Jean, a débouché de proche en proche et inévitablement sur cette abomination moderne qu’est l’islamisme. Ce mouvement politico-religieux impérialiste présente, par ses aspects actuels, toutes les menaces d’une démence meurtrière collective en gestation.

Imbibé jusqu’à la moelle de règles féodales, l’islamisme est comparable à un hara-kiri mental.
C’est un lavage de cerveau, une fabrique de clones fanatisés où seule la lettre compte et où il est interdit de penser en esprit et en vérité.

Il est promis à tout martyr de l’Islam mâle de pouvoir disposer de 70 vierges aux yeux noirs dans le paradis, ainsi qu’une ribambelle d’infidèles réduits à l’esclavage et bien dressés, qui seront à son service jour et nuit, s’ingéniant à devancer ses moindres désirs.
Quant au sort des femmes martyres, on ne leur promet rien.
Quant aux femmes en général, elles comptent à peu près pour une paire de souliers.

Le chant de guerre palestinien « Intifada » comporte des phrases éloquentes où il est question de « montagnes de feu arabes », qui vont détruire en apothéose, les Juifs et les infidèles, c’est-à-dire non islamiques, dans le djihad final.

L’Iran, conduit par des déments barbus et enturbannés, s’emploie activement à préparer une bonne soupe nucléaire à la face d’une Europe poltronne au ventre mou, d’une Chine matérialiste, droguée qui réclame du pétrole dans n’importe quelles conditions, d’une Russie, maffieuse, qui leur vend armes et matériels nucléaires et ménage son client.

Les tentacules de ce monstre islamique sont le Hisbolla (le parti de Dieu) au Liban et le Hamas à Gaza, qui se préparent, avec les complicités syriennes et autres à frapper Israël, isolé et lâchement abandonné, seul face à toutes ces dictatures.



Comment Dieu peut-il laisser des évènements malheureux dégénérer à ce point s’Il existe et est Tout Puissant ?
Depuis le commencement, la liberté que Dieu a donnée à l’homme n’est pas à demi mesure, elle est totale. Sinon, nous serions des robots.

Psaume 8 : 5 à 9
« Qu’est-ce que l’homme, pour que tu prennes garde à lui ?
Tu l’as fait de peu inférieur aux anges, et tu l’as couronné de gloire et de magnificence.
TU LUI AS DONNE LA DOMINATION SUR LES OEUVRES DE TES MAINS,
Tu as tout mis sous ses pieds, les brebis comme les bœufs et les animaux des champs.
Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, tout ce qui parcourent les sentiers des mers. »

Nous pouvons constater depuis longtemps quels ont été les choix faits à l’échelle du monde : se servir de la liberté que Dieu a donnée pour la dévoyer grossièrement.
Et le pire mal que l’homme peut commettre est encore à venir. Ensuite seulement viendra le jugement, car il faut que le vin soit bu jusqu’à la lie.

A l’égard d’un monde corrompu et rebelle, l’Eternel reste muet dans son indignation.
Nous pouvons comprendre qu’Il n’est pas disposé à se laisser consulter par des pasteurs de néant, par des dignitaires religieux qui s’évertuent à déformer ses paroles, voire à enseigner le contraire de ce qu’Il a dit.
Il laisse donc le monde creuser sa propre fosse.
Lorsque des aveugles conduisent des aveugles, il n’est pas étonnant de les voir un jour ou l’autre tomber ensemble dans un trou.
Voyez quel était déjà l’état du monde au temps de Noé.

Genèse 6 : 5
L’Eternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur coeur se portaient chaque jour uniquement vers le mal.
Or, il en sera au jugement comme au temps de Noé.

Matthieu 24 : 37 à 39
« Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme. Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous
; il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme. »
Sauf que le monde actuel est réservé pour un déluge de feu, probablement nucléaire.

2 Pierre 3 : 7
…tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d’à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies.

1 Thessaloniciens 5 : 3
Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l’enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n’échapperont point.

Mais comment la bonté de Dieu se démentirait-elle à l’égard de ceux et de celles qui le considèrent comme le seul dispensateur de ce dont ils ont besoin ?

Esaïe 59 : 1
Non, la main de l’Eternel n’est pas trop courte pour sauver,
Ni son oreille trop dure pour entendre.

De toute manière, nous devons reconnaître que nous sommes tous des parasites de Sa bonté. Dieu en effet n’a jamais cessé d’agir au travers de la prodigieuse intelligence, de l’infinie sagesse des lois générales qui animent la nature toute entière. La face visible de ce qu’est le gouvernement de Dieu est ce décor vivant qui étale ses multiples splendeurs toujours renouvelées au rythme des saisons, pour les bons et pour les méchants.

Il faut être obtus comme un angle plat pour ne pas reconnaître qu’une telle science et qu’une telle bonté sont au-dessus de notre entendement.

Job 12 : 7 à 10
Interroge les bêtes, elles t’instruiront ;
Les oiseaux du ciel, ils te l’apprendront ;
Parle à la terre, elle t’instruira ;
Et les poissons de la mer te le raconteront.
Qui ne reconnaît chez eux la preuve que la main de l’Eternel a fait toutes choses ?

Tout cela n’explique pas pourquoi Dieu reste dans un silence prolongé sans intervenir de quelconque façon !Bien souvent, nous entendons des commentaires navrants de stupidité. Exemple : « S’il y avait un Dieu, ces choses ne se passeraient pas ! » ou encore : « Il devrait avoir honte ! ».
Pourtant, il l’a clairement annoncé d’avance par Ses serviteurs les prophètes d’Israël et les Psaumes. Il ne sortira de Sa demeure qu’au temps marqué, lorsque les rendez-vous sacrés, Ses fêtes solennelles, auront fini leurs cycles.

Peut-on sérieusement demander des comptes à Dieu après : la Shoah, une explosion nucléaire sur une ville habitée, un gigantesque attentat terroriste, le pillage à mort de la mer, des forêts, le réchauffement global provoquant les bouleversements cataclysmiques du climat et la débâcle des glaces polaires, les guerres, les famines, l’empoisonnement de notre milieu de vie, la torture, les massacres, les génocides, les épidémies, la destruction définitive de milliers de races animales et végétales, etc. ?

Est-ce Lui qui a induit les furoncles de l’Histoire qu’ont été les croisades, l’Inquisition, la colonisation, l’apartheid, le nazisme, le stalinisme, les Khmers Rouges, Pinochet, Franco, Trujillo, Buffalo Bill, le Ku-Klux-Klan, les Ayatollahs, les Hezbollah, et autres démences meurtrières ?
S’il fallait en dresser la liste complète, 2 volumes de 1000 pages chacun ne suffiraient pas ! Même en quadruples colonnes et en petits caractères, comme dans les bottins téléphoniques.


Pourquoi citez-vous Buffalo Bill ? Vous voulez rigoler, ou quoi ?
Que nenni ! Ce sinistre individu, dont on a fait stupidement un héros de bandes dessinées, se distingua avec mention « excellent » comme exécuteur du génocide des Indiens, condamnés à la famine par l’extermination des bisons à laquelle il prenait grand plaisir, accompagné, il faut le dire, par des régiments entiers de troufions avec leurs aumôniers, bible en mains…
Les milliers d’animaux morts ou blessés dans ces parties de chasse héroïques étaient abandonnés sur place en pourriture. Les voyageurs du chemin de fer passaient également des heures agréables en faisant des cartons depuis les fenêtres de leurs compartiments.


N’insistons pas et revenons à nos moutons.
Dans un paragraphe précédent, il était question de la fin de cycle des fêtes sacrées et d’une délivrance générale. Quand aura-t-elle lieu ?

Au terme des six mille ans de notre Histoire, qui sont les six jours de la semaine prophétique.
Alors commencera le repos, le Shabbat millénaire, le "septième jour", pendant lequel la terre, restaurée par la Puissance Créatrice, se reposera du mal qui lui aura été fait pendant notre écolage de mauvais élèves, apprentis sorciers ayant préféré la stupidité à la sagesse.

Que l’on se rassure ! Il y a de l’espérance pour notre avenir. Encore faut-il le vouloir, savoir pourquoi et à Qui faire confiance.

Les six mille ans, qui ont vu quelque soixante six milliards d’âmes humaines naître, vivre, sécher et mourir comme des herbes et des feuilles, ne sont qu’une étape de la Création, commencée depuis ce que l’on appelle d’une manière infantile le Big-Bang. (« Big Bang », Qui es Tu ?)

Les six mille ans de notre condition humaine s’achèveront par le shabbat millénaire.
Satan alors lié, l’homme retrouvera un décor de jardin d’Eden renouvelé par un nouvel acte de création que prépare le Très Haut.

Ces futurs mille ans sont le vrai début du Royaume qui n’aura pas de fin, que le Messie suscitera à son retour glorieux.

Daniel 7 : 13 et 14
Je regardais pendant mes visions nocturnes, et voici, sur les nuées des cieux arriva quelqu’un de semblable à un fils de l’homme ; il s’avança vers l’Ancien des jours, et on le fit approcher de lui. On lui donna la domination, la gloire et le règne ; et tous les peuples, les nations, et les hommes de toutes langues le servirent. Sa domination est une domination éternelle qui ne passera point, et son règne ne sera jamais détruit.

Voici quelques caractéristiques de cette prochaine nouvelle donne :
- Résurrection et vie éternelle pour tous les justes de tous les temps…
- Celui qui mourra à cent ans sera jeune et le pécheur qui mourra à 100 ans sera maudit…
- Les arbres donneront du fruit chaque mois…
- On ne construira plus une maison pour qu’un autre l’habite…
- L’on n’apprendra plus la guerre…
- Les survivants jouiront de l’œuvre de leurs mains, ils ne travailleront pas en vain, et leurs enfants ne seront plus de la chair à canon.
- On ne donnera plus à l’insensé le nom de noble et le fourbe ne passera plus pour généreux.

La vie sur terre sera donc loin d’être interrompue, sinon sous sa forme actuelle, qui aura été rendue aberrante par le diable, le prince de ce monde, pendant le temps qui lui a été imparti.
De toutes les façons, qu’est-ce que ces 6000 ans, écoulés comme un mauvais rêve, à côté de la vie éternelle qui est l’absence de temps et la vraie vie ?


L’humanité n’aurait que 6000 ans ?! Que faites-vous de la théorie de l’évolution ?
Elle sera sous peu rejetée en bloc. D’ailleurs, les darwinistes ont fait dire à Darwin ce qu’il n’a jamais dit ; lui qui s’est déclaré stupéfié par ce que fut la soudaine apparition des plantes supérieures à la suite des fougères géantes.
Pour ce qui est des espèces animales, un mammifère marin ne s’est pas muté en mammifère terrestre. Les singes sont restés ce qu’ils étaient depuis leur création . La girafe n’a pas dû allonger son cou à force de brouter des feuilles d’arbres, supposées devenues de plus en plus inaccessibles au fil du temps.

A la question de savoir ce qui a été formé le premier de la poule ou de l’œuf, c’est sans conteste la poule. De même la graine n’a pas précédé la plante. C’est sans conteste la plante, l’herbe portant semence, qui a été formée la première.
Chaque créature suivant son espèce.
L’homo sapiens n’est pas issu d’une lignée obscure de primates qui auraient pris des millions d’années pour devenir intelligents (si on peut employer ce terme pour nous qualifier).

Et ce qu’on appelle le néolithique n’est pas antérieur aux 6000 ans qui nous précèdent.
La seule manière objective et probante de jauger l’intelligence humaine telle qu’elle se manifestait à l’aube de l’humanité est d’examiner les premières traces de l’écriture : moyen intelligent de communication par excellence.
Or, les signes les plus anciens de l’écriture sont les signes cunéiformes. Ils remontent, au plus loin, à 3500 ans avant notre ère : le père Adam était encore en vie !

Nous parlons ici de l'Histoire de l'homme et non de la Préhistoire pendant laquelle la Création pré-Adamique a vu défiler des espèces dont le but était de préparer biologiquement le décor de l'Eden. Ces espèces ont évolué pendant des périodes qui ont pu prendre des milliards d'années. Ces échelles de temps ne nous intéressent pas.

Si la science veut s’attacher à la recherche d’ancêtres de l’homme, il y a lieu aussi de découvrir quels auraient été les ascendants de chaque espèce animale et végétale. Bonne chance !


Pourtant, les scientifiques ont mis au point des méthodes de datation, comme celle du carbone 14, qui permettent d’établir que la présence humaine, par la découverte d’outil en os, était bien antérieure à 6000 ans ?Encore une fois, cette méthode sera sous peu considérée comme caduque, n’en déplaise à ceux qui croient à cette doctrine.
Rappelons que le carbone 14 est issu de la transmutation de l’azote de la haute atmosphère par les neutrons des rayonnements cosmiques : le noyau d’azote, percuté par un neutron, perd un proton et se transmute en carbone 14.

Le C14 ainsi formé, entre dans le cycle du carbone comme son frère le C12, en se combinant chimiquement par exemple sous forme de CO2 respiré par les plantes, lesquelles sont mangées un jour ou l’autre.
Une fois fixé dans un organisme vivant, le C14 accompagne la vie et la mort de cet organisme.
A partir de la mort, le C14, fixé par exemple dans un os, est en quelque sorte sorti du cycle
définitivement (sauf s’il est rongé à son tour par un chien).

Il perd la moitié de son activité tous les 5570 ans environ.
D’où l’idée de la méthode : un outil fabriqué à partir d’un tibia ou d’un coquillage, est supposé révéler son âge par la mesure de sa radioactivité résiduelle, supposée due au C14.
Mais cette méthode, toute élégante qu’elle puisse paraître, suppose que la formation du C14 par les neutrons du cosmos est suffisamment régulière pendant des temps très longs.
C’est à cette condition seule que l’on peut supposer un pourcentage constant entre le C12 et le
C14 dans tous les matériaux qui en contiennent.

Or ce rapport est déclaré constant, comme un postulat, par les initiateurs de cette méthode.
Quand on imagine les quantités de C14 brutalement provoquées en plusieurs décennies, lors des explosions atomiques (en basse atmosphère !) de cette escroquerie monstrueuse qu’est la course aux armements, il ne faut pas être un grand clerc pour affirmer que ce rapport soi-disant constant au travers de tous les âges, est un postulat plus que douteux.

Nul doute que cette méthode ne peut que considérablement vieillir l’âge donné à tous ces objets analysés.


Mais revenons à la Bible. Si tout est vraiment révélé et si nous sommes en route pour une délivrance, peut-on savoir à quel stade du compte à rebours nous en sommes actuellement ?
A coup sûr. Et ce, avec une précision qui va stupéfier tout le monde.
Toutes les clés de compréhension du plan divin et des prophéties sont contenues dans le CALENDRIER des rendez-vous sacrés qui fut donné aux plus anciens des patriarches, rappelé à Moïse et mentionné çà et là dans les livres des Psaumes, dans les Prophètes et dans la Nouvelle Alliance, car en réalité, partout, de long en large de la Bible, la vérité apparaît comme le résultat d’un gigantesque puzzle dont il faut rassembler les pièces.L’étude se révèle amusante et excitante car elle oblige le lecteur à sonder l’Ecriture pour y débusquer les perles qu’elle contient.

Pour aborder l’explication prophétique il faut tout d’abord rétablir le vrai calendrier naturel , celui qui coule de source, qui ne change pas, qui n’a nul besoin de se faire manipuler pour rectifier les erreurs : dehiot, années bissextiles, etc.
L’erreur la plus spectaculaire qui a dû être rectifiée au cours de l’Histoire fut de devoir ôter 10 jours en octobre 1582 lors du passage du calendrier julien au calendrier grégorien. 10 jours déclarés inexistants !

Devant le calendrier naturel, simple, incontournable, vieux comme le monde et mis en évidence au temps de la fin, les contorsions intellectuelles de centaines de savants et théologiens officiels vont sous peu, faire figure de balbutiements ridicules et incohérents.


Rappelons tout d'abord QUAND un jour quelconque commence et QUAND il finit.
Dans nos systèmes modernes et artificiels de comptage horaire, il a été conventionnellement fixé qu'un jour commence à minuit!
Essayons de faire comprendre à un enfant de 7 ans pourquoi fut imposée cette règle arbitraire. Il ne comprendra pas et nous donnera même tort… avec raison!

Genèse 1 : 5
Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin, ce fut le Nième jour.

Autrement dit, et sans interprétation aucune : le jour suivant commence au coucher du soleil du jour précédent.
Mais attention : dans tout ce qui va suivre conduisant au rétablissement du calendrier naturel divin, les dates et heures GMT du temps universel devront être majorée de deux heures pour correspondre aux horaires de Jérusalem.

Pourquoi à Jérusalem?
Parce que cette règle, communiquée à Moïse, est applicable dans le pays que l'Eternel, leur Dieu, leur donne en possession. Ceci est confirmé par :

Esaïe 2 : 3 et Michée 4 : 2
Car de Sion sortira la Loi et de Jérusalem, la Parole de l'Eternel.

Quelles sont les données qui régissent le calendrier naturel?
Genèse 1 : 14
Dieu dit : « Que des luminaires apparaissent dans les cieux pour distinguer entre le jour et la nuit, ils serviront de signes pour les RENDEZ -VOUS SACRES; pour les jours et les années. »

Genèse 1 : 15
« Et ils serviront de luminaires dans l’espace céleste pour éclairer la terre. »
Et cela s’accomplit
.

Genèse 1 : 16
Dieu fit les deux grands luminaires : le plus grand luminaire pour PRESIDER au jour, (c’est-à-dire tout le jour), le petit luminaire pour PRESIDER à la nuit (c’est-à-dire toute la nuit) et aussi les étoiles.
Ce passage du premier chapitre de la Genèse se rapporte au quatrième jour. Bien évidemment les jours génésiaques n’ont rien à voir avec des périodes de 24 heures, mais ils indiquent deux choses :

PREMIEREMENT : ils donnent l’ordre de préséance des étapes successives plus ou moins imbriquées de la création universelle, dont la durée de chacune peut avoir pris un milliard d’années ou plus :
1.Lumière : source de matière
2.Eaux
3.Terre ferme et végétaux
4.Corps célestes, luminaires
5.Poissons et animaux marins
6.Plantes supérieures, animaux terrestres et hommes
7.Repos.

Ces échelles de temps, qui n’ont aucune importance pour notre édification, sont sans aucun rapport de mesure avec le temps, tel que nous le concevons dans notre condition humaine.
Notre temps à nous, humains, est la quatrième dimension du décor, de la gigantesque illusion dans laquelle nous sommes tous baignés.


DEUXIEMEMENT : La semaine des sept jours de la Genèse a une signification prophétique en rapport avec les 6000 ans de l’humanité suivis du Shabbat millénaire.

2 Pierre 3 : 8 et 9
Mais il est une chose, bien aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour.
Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de sa promesse
, comme quelques uns le croient, mais il use de patience avec vous…
Nous voyons dans l'ordre des "jours" de la Genèse, que le Messie apparaît au 4ième millénaire, puisqu'il est d'une manière allégorique représenté par le soleil, l'étoile du matin, source absolue de vie, avec son témoin fidèle, la lune entière qui guide son église.

Ceci est confirmé entre autres par les passages suivants :

Apocalypse 22 : 16
« Moi, Yéshoua, j’ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les églises. Je suis le rejeton de la postérité de David, l’étoile brillante du matin. »

Psaumes 19 : 6
« Et le soleil, semblable à un époux qui sort de sa chambre, s’élance dans la carrière avec la joie d’un héros ».
(Retour glorieux du Messie, noces de l’Agneau).

Apocalypse 12 : 1
Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée de soleil, la lune sous ses pieds et une couronne de douze étoiles sur sa tête…

Le calendrier naturel est explicable entièrement par la lune et il est important que les repères visuels concernant notre satellite soient parfaitement clairs et observables sans la moindre difficulté.

Psaume 104 : 19
Il a fait la lune pour marquer les solennités. Le soleil sait quand il doit se coucher.
Le signe lunaire marquant est celui de la lune entière, celle qui préside à la nuit, un signe céleste clair et net, observable à l’œil nu, qui est à prendre dans sa plénitude afin d’éviter toute confusion.
Du verset 1 de l’Apocalypse 12 cité ci-dessus, il ressort que la lune, comme la femme, est enveloppée de soleil. Elle ne peut être que pleinement éclairée.

Apocalypse 6 : 12
Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau, il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang…

Psaume 81 : 4
Sonnez du chofar dans le mois, à la pleine lune, au jour de notre fête…

Cantique des Cantiques 6 : 10
Qui est celle qui apparaît comme l’aurore, belle comme la lune, pure comme le soleil,
Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières.

Si le calendrier donné par le Maître de la nature est véritablement luni-solaire, cela nécessite un rappel de notions astronomiques élémentaires.
Les mouvements de la terre autour du soleil déterminent les années et les saisons.
Les mouvements de la lune autour de la terre déterminent les mois ou lunaisons.
Un mois, une lunaison, est l’intervalle de temps nécessaire à notre satellite pour tourner autour de la terre et se retrouver à la même place, en conjonction nouvelle par rapport à la ligne terre lune soleil.
Le mois est d’une durée moyenne de 29, 5309 jours et il peut varier de presque 13 heures à cause de l’excentricité des orbites de la terre et de la lune et d’autres facteurs très complexes dont l’explication n’a pas sa place dans ce contexte. D’ailleurs, l’auteur de cette enquête ne serait pas capable de vous fournir ces explications difficiles, contenues dans les traités d’astronomie : science noble par excellence.

En tous les cas, si on exprime les jours d’une lunaison en nombres entiers, ceux-ci sont soit de 29, soit de 30 jours, mais certainement pas de 28 ou de 31.


Qu’est-ce qu’une année dans le système naturel ?



Une année complète comporte soit 12, soit 13 lunaisons, non pas au hasard mais suivant une séquence récurrente se répétant tous les 19 ans.
Cet ordre de succession d’années à 12 ou 13 mois a été redécouvert et confirmé par l’astronome grec METON au 5ième siècle avant notre ère. Voici cette séquence :

-1---   2--- 3--- 4---5---  6---7---8---9---10--- 11---12---13---14---

15---16---17---18---19
12-- 12--13---12--12-- 13 -12- 13 -12-- 12 -- 12 --13-- 12 -- 13--- 12---12-- 13 -- 12 --13


Sur 19 ans, les années à 13 lunaisons, au nombre de 7, sont les 3ième, 6ième, 8ième, 11ième, 14ième, 17ième et 19ième.
Total : (12 x 12) + (7 x 13) = 235 lunaisons au terme desquelles les phases de la lune se reproduisent en principe aux mêmes dates.
Ce cycle dit de Méton met en accord l’année solaire et l’année lunaire.
C’est d’ailleurs à partir de la connaissance de ce cycle naturel que le calendrier romain à 12 mois fut établi.
En effet : 235 mois d’une durée moyenne de 29,5309 jours totalisent 6939,7615 jours.
6939,7615 : 19 = 365,2506 jours par année civile à 12 mois.
C’est la fraction décimale de ce nombre qui explique l’ajoute d’un jour tous les quatre ans aux 28 jours de février et l’ajoute d’un jour de plus tous les 400 ans.
Ne parlons pas du calendrier musulman, lunaire à douze mois, qui fait glisser leurs fêtes traditionnelles, tantôt en été, tantôt en hiver !


Le calendrier grégorien à 12 mois semble pourtant le plus pratique !
On peut comprendre, sans nécessairement l’admettre, que la pratique des échanges commerciaux et des contrats a pu tenter les autorités du monde à mettre en oubli le calendrier naturel et ses variations inconfortables : environ 354 jours pour 12 mois, environ 384 jours pour 13 mois.
Seul le peuple juif, à peu de chose près, a réussi à le respecter, tout en trichant à sa manière, en y ajoutant des modifications dictées par leurs traditions religieuses.
Mais, revers de la médaille, l’oubli du calendrier naturel divin amène ipso facto la confusion totale pour les uns et pour les autres.
Nous souhaitons bon amusement à toute personne qui voudrait voir clair dans le plan prophétique en se basant sur le calendrier grégorien, qui ne résulte que d’une moyenne arithmétique.


Pourquoi une telle dispersion dans les calendriers ?
En poussant toujours à la désobéissance, Satan a fait introduire de fausses échelles de comptage du temps. Il a très bien manœuvré pour conduire les autorités religieuses, tant juives que chrétiennes et musulmanes dans le brouillard le plus épais et leurs suiveurs dans la purée de pois.


La connaissance du cycle de Méton nécessitait-elle des connaissances astronomiques et des instruments d’observation du ciel ?
Non. Une observation, non pas de l’espace mais de la terre, permet de mettre en évidence ce cycle.

Deutéronome 16 : 1
« Observe le mois des épis et célèbre la Pâque en l’honneur de l’Eternel ton Dieu. »

Exode 12
« Ce mois-ci est pour vous le commencement des mois. Il sera pour vous le premier des mois de l’année. »

Chaque année nouvelle débute naturellement au printemps. Quoi de plus logique ?
Nous avons donc à notre portée directe un signe certain et palpable d’identification du premier mois de l’année : les épis verts doivent être formés dans la région de Jérusalem.

Cette observation est accessible à tous ceux qui veulent le vérifier en semant l’orge à l’automne.
Donc le premier mois de l’année est celui où apparaissent les épis verts d’orge à Jérusalem.

Vous pouvez aussi remarquer que les noms de certains mois du calendrier grégorien portent encore des traces, quoique imprécises, de leur vraie place dans le calendrier naturel :
A quels nombres vous font penser les noms de septembre, octobre, novembre et décembre ?


Revenons aux épis verts. Croissent-ils de la même façon lors d’une année à 13 mois ?
Aucun épi vert formé ne sera observable au douzième mois d’une année à treize lunaisons, quelle qu’ait été la date du semis, tôt ou tard dans l’automne précédent.
Ces épis verts du premier mois sont les prémices. Ils ne sont pas encore panifiables mais seulement propres à être consommés rôtis.

Josué 5 : 10 à 12
Les enfants d’Israël campèrent à Guilgal ; et ils célébrèrent la Pâque le quatorzième jour du mois, sur le soir, dans les plaines de Jéricho.
Ils mangèrent du blé du pays le lendemain de la Pâque, des pains sans levain et du grain rôti ; ils en mangèrent ce même jour.
La manne cessa le lendemain de la Pâque, quand ils mangèrent des produits du pays de Canaan cette année-là.
Et c’est encore la lune qui donne le signal de départ des processus végétaux.
Les expériences de Kolisko décrites par Claude AUBERT dans « L’Agriculture biologique » sont éloquentes à souhait sur ce phénomène.


Faites-nous savoir à présent comment on détermine avec précision le numéro des jours dans un mois donné.
Lévitique 23 : 5
Au premier mois, le 14ième jour du mois, entre les deux soirs, Pessah (Pâque) pour l’Eternel et au 15ième jour de ce mois, fête des pains sans levain durant 7 jours.

La Torah fixe le 14ième jour entre les deux soirs pour célébrer la Pâque.

Psaume 81 :
« Célébrez notre Dieu notre force, acclamez le Dieu de Jacob, chantez des hymnes, faites retentir le tambourin, la harpe ainsi que le luth. Sonnez du chofar
(corne de bélier), dans le mois, à la pleine lune[1] au jour de notre fête (laquelle ? réponse dans le verset suivant :)
Car c’est une loi en Israël, un jugement du Dieu de Jacob. C’est un témoignage qu’il établit en Yéhosef (Joseph) quand il marcha contre l’Egypte. »


_____________________‹___________________________________________ [1] L’expression « ba kèssè » בכֵּסֶה figurant dans le texte hébraïque du psaume, signifie : pleine lune. (Réf. : dictionnaire d’Hébreu et d’Araméen bibliques : Ph. REYMOND).
Une erreur couramment répandue dans le monde religieux est de dire que cette expression signifie « couverte » ou « cachée ». Or la lune n’est jamais cachée et si elle est couverte, ce ne peut être que par la lumière du soleil. Sauf aux éclipses de lune, qui n’ont lieu qu’en phase pleine lune. A ces instants précis en effet, elle est couverte de l’ombre de la terre pendant quelques minutes. Ce qui ne fait que confirmer le vrai sens du mot « ba kèssè ».

____________________________________________________________________


Sans conteste, il s’agit de la nuit mémorable de la Pâque.La lune pleine et entière traverse la voûte céleste pendant toute la nuit qui suit la Pâque, donc au début du 15ième jour.

Il en fut ainsi dans la nuit mémorable qui a précédé la sortie d’Egypte alors que l’ange faisait périr les premiers-nés des Egyptiens et que les Hébreux, enfermés chez eux, consommaient l’agneau immolé, le quatorzième jour entre les deux soirs comme Moïse l’avait ordonné.

Il en fut ainsi dans la nuit qui a suivi la mort du messie juif, Yéshoua, pendu au bois, à la Pâque, 14ième jour du 1er mois de l'an 27, date correspondant au 9 avril, comme nous le découvrirons ultérieurement, mais n'anticipons pas.


Quelle est donc la formulation de la règle ?
La voici :


LA PLEINE LUNE TRAVERSE LE CIEL DANS LA NUIT QUI COMMENCE CHAQUE QUINZIEME JOUR DU MOIS.
Parfaitement ronde, la LUNE ENTIERE se lève à l'Est au moment où le soleil se couche à l'Ouest et disparaît à l’aurore, ayant éclairé la terre toute la durée de la nuit du 14ième au 15ième jour de la lunaison.

Ce jour 15ième est deux fois par an sanctifié par Dieu pour déterminer deux fêtes solennelles :
- Au 1er mois : nuit qui suit la Pâque , premier jour des pains sans levain.
- Au 7ième mois : la fête des Souccot (cabanes) ou fête des Tabernacles.

Observons aussi que le nombre 15, exprimé en Hébreu en valeurs littérales, est ה י (Youd suivi de Hé). Le chiffre 10 suivi de 5. Ce mot en Hébreu, prononcé « yah » est le Nom raccourci de l’Eternel.

Le Créateur donne des signes parfaitement visibles au marquage du temps, n’étant ni cachottier ni dissimulateur.

Si donc nous connaissons avec exactitude le jour 15ième de chaque lunaison, alors la date du premier jour du mois, (rosh hodesh: tête du mois) se calcule par déduction de 14 jours.

Dès à présent nous tenons la clé qui, grâce à la connaissance précise des phases lunaires, nous permet de rétablir le vrai et unique calendrier divin, et ce pour toute époque du passé et de l’avenir.

Et c’est alors seulement que va nous apparaître l’exacte chronologie des événements bibliques, sur une échelle sûre qui ne permet aucun tripotage. Et le tout sera en effet confirmé par les saintes écritures elles-mêmes. C’est de la Bible seule que viennent les réponses aux questions que sa lecture suscite, ainsi que les preuves irréfutables de sa véracité.



Qui peut nous fournir, pour les époques du passé et de l’avenir, les données précises sur les phases lunaires et quelle est la marche à suivre ?Pour nous assister dans notre étude, nous pouvons connaître les dates et heures en temps universel des phases de la lune, à la minute près, en consultant les tables fournies par les observatoires nationaux d’Astronomie ou par la NASA. Cette Agence a étudié de très près ces phénomènes en vue des alunissages prévus pour les missions Apollo.

Par ailleurs, des algorithmes élaborés par le Professeur J.Meeus permettent également à tout un chacun de calculer en une demi page les dates et heures d’une quelconque phase lunaire avec une précision de moins de 10 minutes, de l’an -1500 à l’an + 2999.




Enfin, les calendriers perpétuels nous donnent, en quelques secondes, le jour de la semaine correspondant à une date quelconque. Par exemple : le calendrier perpétuel Moret, élaboré sur base de 3 tableaux à 2 entrées et que l'on peut consulter dans l'encyclopédie Larousse à la rubrique "calendrier" ou sur le Net.

Pour les besoins de cette étude, nous avons rétabli les calendriers annuels de 2007 à 2024, ainsi que de la totalité de la période messianique : de l’année -8 à l’année 27.


Ils constituent donc 53 tableaux calendriers annuels portant la double numérotation superposée des mois et des jours, l'une naturelle, l'autre civile grégorienne.

Pour chaque lunaison la date grégorienne et l'heure GMT de la phase Pleine Lune sont indiquées, ce qui permet à tout un chacun de vérifier par lui-même à quelles dates civiles correspondent :

- tout d'abord le 15ième jour de chaque lunaison;

- ensuite le 1ier jour de celle-ci;

- la connaissance précise de ces deux dates permet enfin de déterminer si le mois considéré comporte 29 ou 30 jours.

N.B. Pour ne pas consommer un trop grand espace, ces 53 tableaux calendriers annuels ne figurent sur le blog.

Sur simple demande, nous les transmettrons en fichier PDF par Email à toute personne qui en fera la demande.


Comment les anciens déterminaient-ils les dates précises sans disposer, comme nous, des données précises fournies par nos observatoires astronomiques modernes ?

Pour ce qui est de la date du 15ième jour, aucun doute n’est possible car c’est le seul jour de la lunaison où la lune, premièrement, est bien pleine et deuxièmement, où elle préside à la nuit. C'est-à-dire qu’elle se lève au coucher du soleil et se couche au matin. Comme ce jour 15ième est sanctifié deux fois par an, au premier mois (la Pâque) et au septième mois (Souccot : cabanes), les anciens, à l’œil nu et sans instruments d’optique, pouvaient être sûrs de ne pas rater ces deux fêtes importantes.

Pour ce qui est du premier jour (tête du mois : rosh hodesh), c’est l’observation, à l’aurore, du dernier liséré éclairé de la lune descendante qui leur donnait le signe que l’un des deux jours suivants serait le premier du mois. C’est la raison pour laquelle, chez les Juifs de l’époque, deux jours étaient chômés au début du 7ième mois dont le premier est une fête sacrée : la mémoire d’ovation : zicaron troua : fête mise aux oubliettes pour être remplacée par une soi-disant nouvelle année (rosh ha shana) qui s’accompagne encore actuellement de deux jours chômés.



En supposant que le calendrier naturel soit rétabli, quelle serait son utilité, vu qu’il paraît impensable de remettre en question le calendrier officiel ?
Le calendrier naturel est lié à la loi divine, la Torah, donnée par Dieu, via les Hébreux, peuple choisi pour servir d’exemple, aux hommes, à tous les hommes. Le monde entier va devoir, sous peu, l’admettre et s’y conformer. Et ce pour une raison bien simple et d’importance vitale : c’est grâce à un sursaut d’obéissance à cette loi, consentie par quelques-uns, que le monde ne sera pas entièrement dévoué par interdit, autrement dit, livré à sa propre autodestruction.

C'est la découverte finale de la vérité du message biblique qui va réconcilier l'humanité avec son Créateur en l'affranchissant une bonne fois pour toutes de tous les dogmes trompeurs.

Malachie 4 : 5 et 6
« Voici, je vous enverrai Elie, le prophète, avant que le jour de l’Eternel arrive, ce jour grand et redoutable.
Il ramènera le cœur des pères à leurs enfants, et le cœur des enfants à leurs pères, de peur que je ne vienne frapper le pays d’interdit. »

Matthieu 24 : 21 et 22
Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais.
Et si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés.

Marc 13 : 20
Et, si le Seigneur n’avait abrégé ces jours, personne ne serait sauvé ; mais il les a abrégés, à cause des élus qu’il a choisis.
Car il est certain que la découverte finale du calendrier et la connaissance prophétique qui en découle vont conduire le plus grand nombre à rendre gloire à l’Eternel Dieu. C’est dans ces conditions que dans la suite des temps, les bénédictions promises seront enfin dispensées, dès le commencement du repos millénaire, en lieu et place des malédictions multiples et désolantes qui auront accompagné tout au long de l’Histoire humaine, notre espèce rebelle et contredisante qui n’en fait qu’à sa tête au point de tenir Dieu quasiment pour un nul à notre image et dont on peut se passer. Pour rappel, les desseins du prince du monde sont de nous perdre tous. Il n’est pas le diable pour rien.



Que nous apprend le calendrier ?
Le calendrier nous donne tout d’abord la connaissance exacte des rendez-vous solennels, et par là même, la certitude de ne pas les rater dans le peu de temps qui reste.
Ensuite il va nous apprendre pourquoi ces dates ont été choisies par le Créateur et ordonnées à Moïse.


Rappelez-nous quels sont les rendez-vous sacrés, appelés fêtes, qui ont été ordonnés par l’Eternel à Moïse comme loi perpétuelle.
Tout d’abord et avant tout : le Shabbat (samedi), septième et dernier jour de chaque semaine.
C’est une figure raccourcie qui illustre les six mille ans, suivis du repos millénaire, le septième « jour », qui va bientôt commencer pour que la terre se repose de nos actions.
Au printemps, c’est à dire au nouvel an, au premier mois de l’année, le quatorzième jour « entre les deux soirs », La Pâque, suivie de la nuit mémorable du quinzième jour, qui est chômé.

Ce quinzième jour du premier mois inaugure les sept jours des Pains Azymes (sans levain), consommés du quinzième au vingt et unième jour. Ce dernier jour des pains sans levain est également chômé.
Le dimanche, lendemain du shabbat qui est inclus dans les sept jours des pains azymes, a lieu la présentation de la gerbe d’épis verts, les prémices de la récolte, devant l’autel, par le souverain sacrificateur. Ce jour est le premier dans le comptage dit du omer, qui détermine la date de la fête suivante qui est la

Pentecôte (Shavouot) fête dite des Semaines, à la période de la moisson des orges. Cette fête a lieu toujours un dimanche, au lendemain du septième shabbat, au terme de sept semaines entières comptées à partir du omer (voir § précédent). Autrement dit : cinquante jours à partir du shabbat inclus dans les sept jours des pains azymes. La Pentecôte est un jour chômé.

Le premier jour du septième mois : Mémoire d’Ovation (Zicaron Troua) jour chômé.

Le dixième jour du septième mois : Expiations (Kippour) jour chômé accompagné d’un jeûne complet.

Le quinzième jour du septième mois : Fête des Cabanes (Souccot), appelée aussi fête des Tabernacles jour chômé, suivi de six autres jours non chômés. Total sept jours pendant lesquels le peuple séjourne dans des cabanes avec réjouissances accompagnant la période des récoltes de l’arrière saison.
Cette fête des Souccot se déroule donc du 15ième au 21ième jour du septième mois. Et enfin, la dernière fête :

Le Dernier Grand Jour : vingt deuxième jour du septième mois, jour chômé.

Les passages de la Tora faisant référence aux fêtes ou rendez-vous sacrés mentionnés ci-dessus sont :

-Exode 20 : 8 à 11
-Exode 12 : 1 à 14
-Exode 12 : 15 à 20
-Lévitique 23 :10 à 15
-Lévitique 23 : 15 et 16
-Lévitique 23 : 27 à 32
-Lévitique 23 : 33 à 44

Toutes les fêtes dont le monde du mensonge nous abreuve, soit folkloriques, soit idolâtres, soit sans signification, telles que la Noël, Hanoukka, l’Assomption, la Toussaint, le nouvel an chrétien, ou juif, ou musulman, ou chinois, de même que les Saint-Nicolas, Père Noël, sainte Barbe, saint Chose et autres Halloween etc. sont à mettre au panier. Ca va faire mal au commerce. Mammon va vociférer.
Seuls ceux qui courent à la vraie élection vont claquer la porte à ces fantaisies, car lorsque nous appliquons le calendrier naturel divin à l’époque messianique, la CHRONOLOGIE EXACTE va sauter aux yeux pour ce qu’ont été sa conception, sa naissance, son ministère de trois ans, le nombre de ses jours, sa mort et sa résurrection. Le tout en PARFAITE CONCORDANCE AVEC CE QUI EST DIT DE LUI DANS LES ECRITURES. Ancienne et Nouvelle Alliances confondues ne font qu’un seul message.



Les évènements vécus et soufferts par le Messie sont-ils donc en rapport direct avec le calendrier ?Puisque tout dans la Bible est révélation prophétique, nous allons découvrir, émerveillés, pourquoi les fêtes ont été ordonnées à Moïse à ces différentes dates précises du calendrier naturel.
Nous pouvons d’ores et déjà affirmer que toutes les dates des rendez-vous sacrés communiquées aux Hébreux se rapportent aux évènements de la vie du Messie juif Yéshoua.

Une fois n’est pas coutume : la vérité historique sera rétablie, indissociable de la vérité prophétique, donnée à Moïse comme loi perpétuelle 1500 ans auparavant. C’est du Messie qu’il était question dans :

Deutéronome 18 : 18 (L'Eternel parle à Moïse)
« Ce qu’ils ont dit est bien. Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme moi ; je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui commanderai. »

Sans conteste il s'agit du Messie. Ces mots impliquent que Celui qui est annoncé ici, est plus grand que Moïse lui-même.

Luc 24 : 25 à 27
Alors Yéshoua leur dit : « O hommes sans intelligence, et dont le cœur est lent à croire tout ce qu’ont dit les prophètes ! Ne fallait-il pas que le Messie souffrît ces choses et qu’il entrât dans sa gloire ? » Et, commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliqua dans toutes les Ecritures ce qui le concernait.
Luc 24 : 44
Puis il leur dit : « C’est là ce que je vous disais lorsque j’étais encore avec vous, qu’il fallait que s’accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes et dans les psaumes. »

Quelle intelligence humaine aurait-elle pu concevoir un tel plan avec une telle précision ?
Or donc, comme nous allons nous apercevoir que Dieu n’a pas menti sur le passé, gageons qu’Il ne va pas se mettre à mentir sur l’avenir.
Car le calendrier nous permet de faire des projections sur l’avenir et voir clair sur les choses telles qu’annoncées dans l’Apocalypse de Jean, qui ne font que répéter les prophéties de Daniel. Le message est Un.
Il est grand temps de comprendre et d’admettre que le Dieu vivant n’a jamais agi par surprise, sans avertir Ses enfants, à savoir ceux qui croient qu’Il existe et qu’Il est le rémunérateur de ceux qui Le craignent. Mais combien en reste-t-il ?

Luc 18 : 8 « Mais quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
Le diable et ses anges savent parfaitement, eux, que le Tout Puissant va sortir de sa demeure et agir… Et ils tremblent.
Ce n’est pas pour rien que le père du mensonge a tout fait pour que le plan divin, révélé par le vrai calendrier, échappe à l’entendement du plus grand nombre.


Quand le monde actuel arrivera-t-il à son terme ?
Esaïe 29 : 1 "Ajoutez année à année, laissez les fêtes accomplir leur cycle…"La terre entrera dans le repos millénaire du « septième jour », dans l’année qui suivra la proclamation du 120ième et dernier Jubilé, clôturant les 6000 ans qui se seront écoulés depuis qu’Adam, fils de Dieu, le premier homme, devint une âme vivante dans le jardin d’Eden.


Qu’est-ce que le Jubilé ?Le Jubilé est une fête d’une durée d’un an. Il tombe à chaque 50ième année, au terme de sept fois sept ans, à la suite de la 7ième année sabbatique de la terre.
L’année jubilaire est proclamée et annoncée à l’automne, à la fête des Expiations, au 10ième jour du 7ième mois de la 49ième année.
Les dispositions de remise à plat de la propriété terrienne et de remise des dettes que comporte cette fête cinquantenaire, ordonnée par l’Eternel à Moïse, n’ont pas été appliquées une seule fois par aucun gouvernement, même hébreu, sur toute la durée des 6000 ans.

Lévitique 25 : 23
« Les terres ne se vendront point à perpétuité ; car le pays est à moi, car vous êtes chez moi comme étrangers et comme habitants. »

Pour quelle raison ?
Toutes couches sociales confondues, à cause de la cupidité et de la méchanceté humaines, induites elles-mêmes par la jalousie et par la peur de manquer. Quitte à le répéter encore, la loi divine, programmée sur mesure pour procurer bonheur et abondance, a été déposée aux pieds des hommes, mais personne n’en a voulu.
Le seul jubilé qui sera, bon gré mal gré, mis en pratique sera l’ultime, le tout dernier, finalement suscité par le Créateur lui-même, à l’entrée du repos millénaire.

Esaïe 61 :1 et 2
L’esprit du Seigneur, l’Eternel, est sur moi, car l’Eternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux ; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers la délivrance ; pour publier une année de grâce de l’Eternel, et un jour de vengeance de notre Dieu ; pour consoler tous les affligés…

Luc 1 : 51 à 55 Cantique de Marie (Myriam)
Et Marie dit :
« …Il a déployé la force de son bras ; il a dispersé ceux qui avaient dans le cœur des pensées orgueilleuses.Il a renversé les puissants de leurs trônes, et il a élevé les humbles.
Il a rassasié de biens les affamés, et il a renvoyé les riches à vide.
Il a secouru Israël, son serviteur, et il s’est souvenu de sa miséricorde, comme il l’avait dit à nos pères, envers Abraham et sa postérité pour toujours. »

A aucun moment de l’Histoire du monde on n’a vu la réalisation de ce beau programme.

Dans ce passage, Myriam prophétise pour un temps éloigné et ne parle pas d’elle-même, mais du minuscule petit troupeau des fidèles rassemblés de la fin des temps, mis de côté et protégés pendant le temps de la colère.

Apocalypse 3 : 10
« Parce que tu as gardé ma parole et la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. »


Peut-on savoir quelle année sera celle du prochain et dernier Jubilé ?
Pour ce faire il va nous falloir situer avec exactitude quelle fut l’une quelconque des années jubilaires connues dans le passé et extrapoler jusqu’à nos jours. C’est ce à quoi nous allons nous employer, mais une chose à la fois.


Par quel bout l’enquête historique commencera-t-elle ?
Nous allons d’abord rechercher l’année, le mois, le jour et l’heure de la mort soufferte par le Messie juif Yéshoua.

Rappelons que ce prénom, qui signifie SALUT, est le véritable et qu’il va falloir s’y habituer, car c’est ainsi qu’il s’appelle. Le prénom « Jésus » n’est qu’une dérivation du vocable, à caractère méprisant et insultant, issue de la tradition religieuse juive (Yéshou). Ce mot est l’acronyme de l’expression : que ce nom soit oublié à jamais !
Remarquons qu il n’y a dans ce rejet rien d’étonnant, quand on sait à quelles abominables persécutions meurtrières le peuple juif, idiotement qualifié de déicide, a été soumis de la part du monde de Satan, à toutes les époques durant lesquelles ont dominé et sévi les traditions religieuses dites chrétiennes : Empire romain, Croisades, Inquisition, pogroms, nazisme, antisémitisme à toutes les sauces.
Une chose importante à rappeler également : Il n’avait, ni les cheveux longs ni un visage de bellâtre efféminé. Il n’était pas ce qu’on appelle un bel homme. (Mel Gibson s’est lourdement trompé dans le casting de son film malveillant).


Quelle est l’année de sa mort ?
PREMIEREMENT, l’année de sa mort n’était pas l’an 33 de notre ère moderne, dite chrétienne. Pas plus qu’il n’est né en l’an zéro, année qui n’existe pas :
en effet le zéro, comme dans la série des nombres relatifs, n’est qu’une borne, un élément neutre qui n’a aucun « poids » temporel. Si on raisonne en numéros d’années selon le comptage qui commence à l’ère chrétienne, l’année – 1 devrait précéder l’année +1.


année -2___ année -1____ année +1____ année +2____ année +3___ VRAI
________________0__________________________________

année -1___ année 0____ année +1____ année +2____ année +3___ FAUX ___


L’année appelée faussement zéro, dans les publications des observatoires, est donc en réalité à numéroter - 1.
Quant à l’année dite -1, c’est -2, etc.

DEUXIEMEMENT, il a été reconnu à posteriori qu’une erreur de calcul, estimée à six ans, a été commise par un moine du Moyen Age (Dionysius) dans son comptage, lequel fait référence pour l’échelle des années dans l’ère moderne.
Le rattrapage de cette erreur nous conduit à explorer le calendrier de cette époque aux alentours, non pas de l’an 33, année supposée de sa mort, mais de l’an 27 !
Prenons une marge de plus ou moins 6 ans par rapport à 27 et cherchons pour laquelle de ces quelque 12 années la PAQUE, jour de sa mort, tombe un MERCREDI.


Pourquoi désigner comme jour de sa mort un mercredi et non un vendredi comme c’est généralement reconnu dans le monde chrétien ?
Parce que conformément à ce que Yéshoua annonce d’avance à ses disciples, son corps séjournera dans le sépulcre trois jours et trois nuits avant de ressusciter.

Matthieu 12 : 39 – 40
« Une génération méchante et adultère demande un miracle ; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas. Car de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre. »

Autrement dit : de même que Jonas fut vomi par le poisson sur le rivage et ressuscité après ce laps de temps, il doit de même s’écouler trois jours et trois nuits, soit 72 heures entre la mise au tombeau et la résurrection de Yéshoua.
Pour satisfaire à cette condition, il faut qu’il soit enseveli un mercredi au crépuscule et qu’il reste dans la tombe jusqu’à la fin du Shabbat, c’est-à-dire dans la nuit du samedi au dimanche (premier jour de la semaine). C’est à cette seule condition que trois jours et trois nuits sont comptés entre mort et résurrection.


Pourtant, les Evangiles nous apprennent que le lendemain de sa mort était un shabbat.
Le shabbat dont les Evangiles parlent comme lendemain de sa mort n’est pas un samedi mais un jeudi.

C’est un shabbat de fête : c'est le jour 15ième du 1er mois, le premier jour des pains sans levain qui est un jour chômé.
C’est seulement le lendemain de cette fête, soit le VENDREDI, jour non chômé, que les femmes achetèrent et préparèrent les aromates.
Lorsque, à l’aurore du premier jour de la semaine (dimanche), après le Shabbat hebdomadaire (samedi), elles se rendent enfin au sépulcre pour l’embaumer, c’est évidemment trop tard puisqu’il en est sorti à la sortie du Shabbat, le soir.

Afin de déterminer l’année de sa mort, voyons, pour les années 21 à 33, quand la Pâque, 14ième jour du premier mois, est tombée un mercredi.

Examinons cette série de dates dans le tableau ci-après :


Année---Jours---dates et heures------------- Heures à----------------- Nuit de la Pâque--------------------------de la P.L. GMT------------ Jérusalem
21----- mardi----- 15 avril 19H31------------ 21H31--------------------- du mardi au mercredi
22----- samedi----- 5 avril 11H50-----------  13H50-------------------- du vendredi au samedi
23----- vendredi-- 24 avril 10H43------------12H43---------------------- du jeudi au vendredi
24----- mercredi-- 12 avril 18H43------------20H43---------------------- du mercredi au jeudi
25----- dimanche--- 1 avril 20H13------------22H13--------------------- du dimanche au lundi
26------vendredi---20 avril 12H27----------- 14H27---------------------- du jeudi au vendredi
27----- mercredi-----9 avril 16H21------------18H21--------------------- du mercredi au jeudi
28-----dimanche--- 29 avril 03H16----------- 05H16------------------ du samedi au dimanche
29----- samedi----- 17 avril 02H41----------- 04H41------------------- du vendredi au samedi
30----- jeudi--------06 avril 19H38----------  -21H38---------------------du jeudi au vendredi
31----- lundi -------27 mars 10H52-----------12H52-------------------- du dimanche au lundi
32----- dimanche---14 avril 08H57-----------10H57------------------- du samedi au dimanche
33----- jeudi--------03 avril 14H47-----------16H47---------------------- du mercredi au jeudi
De tous ces jours de la Pâque qui tombent un mercredi, nous retenons celle du 9 avril 27 qui correspond aux 6 ans d’erreur reconnus. Nous en aurons, plus loin dans l’enquête, la confirmation.

A l’heure même où, au sein de chaque famille ou entre voisins, le peuple juif immole l’agneau en ce jour de la PREPARATION, Yéshoua meurt, pendu au bois après avoir, dans ses dernières paroles, intercédé pour les coupables.
Le châtiment qui lui a été infligé par les impies et qui nous donne le salut, tombait sur lui. Il EST la Pâque et l’Agneau du sacrifice. Le pardon des péchés n’aurait pu être accordé sans l’effusion de son sang.

Lévitique 17 :11
Car l’âme de la chair est dans le sang. Je vous l’ai donné sur l’autel, afin qu’il servît d’expiation pour vos âmes, car c’est par l’âme que le sang fait l’expiation.

Hébreux 9 : 22
Et presque tout, d’après la loi, est purifié par le sang, et sans effusion de sang il n’y a pas de pardon.

Matthieu 26 : 28
« …car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés…
Pourquoi la fête de la Pâque est-elle suivie de 7 jours de pains sans levain ?
Le levain est la figure allégorique du péché.
Les fautes rachetées par le sacrifice volontaire du Messie, ce fleuron de l’Humanité, ne sont pas seulement celles de ses contemporains et des âges qui l’ont précédé, mais aussi de ceux qui suivront, jusques et y compris les fautes qui se commettront encore pendant le Shabbat millénaire. C’est pourquoi le sacrifice de la Pâque est suivi de 7 jours de pains sans levain dont le septième est chômé.

Après la mort qu’il a soufferte, pendu au bois, conformément aux prophéties, le phénomène céleste qui se présente en cette nuit mémorable nous donne une image, troublante de signification, qui s’impose à nos pensées :
le soleil se couche quand le Messie est mis au tombeau et la lune entière, image représentant ses apôtres, ses disciples et son église, prend la relève, pleinement couverte par l’éclat du soleil.

Apocalypse 12 : 1
Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête.

Que dire du mythe du vendredi saint ?

Ou alors les Evangiles mentent, ce qui n’est pas envisagé une seule seconde dans cette enquête ou alors ce sont les dogmes religieux chrétiens qui sont faux. Il faut beaucoup d’imagination pour trouver trois jours et trois nuits entre un vendredi soir et l’aube du dimanche.
La veillée de PESSAH, la Pâque juive, qui rappelle la sortie d’Egypte par les Hébreux, est célébrée très justement dans la tradition du peuple juif pour commémorer la sortie de l’esclavage en Egypte.
Depuis cette date du 9 avril 27, la même Loi a été enrichie d’une réformation spirituelle puisqu’il s’agit de la LIBERATION de la servitude du péché (esclavage spirituel) pour ceux qui, dans le monde entier, Juifs et non Juifs, voudront bien reconnaître que c’est par les meurtrissures du Messie que nous sommes sauvés et guéris.

La Pâque et les 7 jours de pains sans levain sont vraiment la fête du GRAND PARDON proposé par le Dieu vivant à tous les hommes. Ce Grand Pardon affranchit ceux qui le veulent. Dieu donne la liberté mais ce monde d’esclaves n’en veut pas. Il n’en veut pas parce qu’il en a peur.
Or, la peur de la liberté est un mal aussi grave que la PEUR DE LA MORT PHYSIQUE. Cette peur humaine, omniprésente, est à la source de tous les comportements aberrants qui constituent la comédie humaine sous l’instigation du Malin.

La seule MORT qu’il faut craindre, c’est la seconde. Non pas la mort physique, celle que tous les êtres vivants doivent subir une fois et qui nous attend tous : c’est le chemin de toute la terre et elle fait partie intégrante de la vie.
La seule mort qu’il faut craindre, c’est celle de l’anéantissement total et définitif qui, pour certains, suivra la 2ième résurrection physique des justes et des injustes.

Luc 12 : 4
« Je vous dis, à vous qui êtes mes amis : Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui, après cela, ne peuvent rien faire de plus. »

Apocalypse 20 : 14
Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l’étang de feu. C’est la seconde mort, l’étang de feu.

Actes 24 : 14 et 15
«
Je t’avoue bien que je sers le Dieu de mes pères selon la voie qu’ils appellent une secte, croyant tout ce qui est écrit dans la loi et dans les prophètes, et ayant en Dieu cette espérance, comme ils l’ont eux-mêmes, qu’il y aura une résurrection des justes et des injustes. »
La fête de la Pâque avait-elle déjà un sens, même avant Moïse ?
Encore un peu de temps et le monde saura avec certitude que le sacrifice d’Isaac eut lieu plus de 1940 ans auparavant au même endroit, un 14ième jour du premier mois. (Lire Genèse 22).
Père et fils font UN. Ils ont marché TROIS JOURS. Arrivés en vue du lieu, le Père a chargé sur son fils, le BOIS DE L'HOLOCAUSTE. Empêché à la dernière seconde, par l’ange, d’immoler son fils, Abraham a vu et a compris ce que le Père Céleste laissera faire en un temps éloigné avec Son Fils et qu’Il ne retiendra pas son bras.

Jean 8 : 56
« Abraham, votre père, a tressailli de joie de voir mon jour : il l’a vu et il s’est réjoui. »

Hébreux 11 : 17
C’est par la foi qu’Abraham offrit Isaac, lorsqu’il fut mis à l’épreuve, et qu’il offrit son fils unique, lui qui avait reçu les promesses…

Il est donc ressuscité dans la nuit du dimanche 13 avril 27 avant l’aube ?
Exact. Et à l’aube de ce dimanche, il ne permet pas à Marie de Magdala de l’approcher, parce qu’il ne s’est pas encore, à cette heure matinale, présenté au Père.
Nous sommes le premier jour de la semaine, le lendemain du Shabbat (samedi) qui suit la Pâque, endéans les 7 jours des pains sans levain. C’est ce jour là que la gerbe d’épis verts doit être balancée par le grand Cohen, le GRAND SACRIFICATEUR, devant l’autel. Cette gerbe présentée est une allégorie parfaite de la résurrection qui vient de se passer. Le grain de blé semé dans la terre meurt. S’il ne meurt, il n’y a pas d'épis...
L’image symbole de la gerbe est magnifique. De plus, une dimension est ajoutée par rapport aux processus physiques vivants car ici : Celui qui a été semé corruptible renaît incorruptible. Et, dans son cas précis, unique dans toute l’Histoire, sans que sa dépouille ait été abandonnée à la corruption, autrement dit à la putréfaction.

Psaume 16 : 10
Car tu ne livreras pas mon âme au séjour des morts, tu ne permettras pas que ton bien-aimé voie la corruption
.

C’est après sa résurrection qu'ont dû s’accomplir pour Yéshoua, premier né d’entre les morts, les paroles du

Psaume 110 :
« Tu es sacrificateur pour toujours selon l’ordre de Melchisédek » (Roi de justice) et
« Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied. »

S’étant qualifié à la plus haute échelle morale dans la condition humaine, il a revêtu et retrouvé sa nature divine, Maître de sa propre matière, il a pu dès cet instant se dématérialiser et se re-matérialiser à sa guise, à la manière de Melchisédek.

Genèse 14 : 18 à 20
Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin ; il était sacrificateur du Dieu Très-Haut.Il bénit Abram, et dit : « Béni soit Abram par le Dieu Très –Haut, maître du ciel et de la terre !
Béni soit le Dieu Très-Haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains ! Et Abram lui donna la dîme de tout
. (Abram ne s’appelait pas encore Abraham à cette époque).

Hébreux 7 : 3
Melchisédek, qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie – mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, - ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité.

La dématérialisation – rematérialisation, Yéshoua l’a mise en pratique en jouant les « passe murailles » le soir même et il s’est déplacé à la vitesse de la pensée de Jérusalem en Galilée peu après.
Les avions supersoniques font immédiatement pauvre figure de ferrailles ridicules, nuisibles et inutiles en regard de cette nouvelle nature qui nous est promise et qui nous attend.

Dans ce contexte, ouvrons une petite parenthèse sur ce qu’est véritablement la matière.


Matière, qui es-Tu ?
La matière est l’ensemble complet des substances. Dans chaque substance, on y trouve des molécules.
Dans ces molécules, on y trouve des atomes.
Dans chaque atome, on y trouve énormément de vide.Alors, où est la matière concentrée, sinon dans le noyau ?
Dans chaque noyau, on y trouve des nucléons.
Dans chaque nucléon, se trouvent 2 à 3 milliards de photons, grains de lumière élémentaires, rien que de l’énergie ! Des vibrations ! Des ondes!


Energie : qui es-Tu ? Lumière qui es-Tu ?
Trois phrases sont à mettre en exergue pour guider les esprits chercheurs :

Jean 1 : 9 et 10
Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.
Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a point connue.

Hébreux 11 : 3
C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles.

Jacques 1 : 7
… Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation.
Quelle est la prochaine étape de l’enquête historique ?
Nous allons rechercher la date de sa naissance, et ipso facto, celle de sa conception.
TOUS les évènements de ce qu’ont été Sa vie et Son Œuvre sont liés aux dates solennelles des rendez-vous sacrés.
Son ministère a duré 3 ans.
Il avait à peu près trente ans lorsqu'il commença son ministère.

Luc 3 : 23
Yéshoua avait environ trente ans lorsqu’il commença son ministère, étant, comme on le croyait, fils de Joseph…

Il meurt à la Pâque, le mercredi 9 avril 27 AVANT son 33ième anniversaire.
Cela nous conduit donc à situer sa naissance APRES la Pâque de l'an -7.
A sa naissance, il y a foule dans la région. C’est le printemps. Les bergers sont aux champs, passant la nuit avec leurs troupeaux, et cela juste après la MOISSON, car les moutons broutent ce qui reste de la récolte, après fauchage.
Nous sommes à la Pentecôte, l’une des trois fêtes annuelles au cours desquelles une foule nombreuse quitte les quatre coins du pays pour venir en Judée et se présenter à Jérusalem.Bethléem en est très proche.
Il est tout à fait plausible que Joseph et sa femme Myriam, enceinte, tous deux respectueux de la Loi de Moïse et contraints par l’édit de César de venir se faire recenser en Judée, aient fait le voyage à ce moment pour célébrer cette fête solennelle chez les Juifs.C’est très probablement en raison de l’affluence des voyageurs qui occupent tout ce qui peut servir de gîte à Jérusalem et ses environs, que Myriam doit accoucher dans une étable, tout simplement, et non pour cause de pauvreté, tel que ce fut habituellement colporté par les doctrines catholiques.En cette année -7, la Pentecôte, fête des Prémices (le Messie représente les prémices) tombe le dimanche 6 juin. : 9ième jour du 3ième mois sur le calendrier de cette année-là.

Remarque : Yéshoua est le second Adam et le premier né d’entre les morts comme dit l’Ecriture. Cela nous rappelle la Pentecôte, date anniversaire de sa naissance, qui est un shabbat second- premier dont il est question dans Luc 6 au verset 1 : second de deux shabbats qui se suivent et premier jour de la semaine.


Peut-on attribuer sa date de naissance au hasard ?
Ouvrons brièvement une parenthèse avec le passage du :

Psaume 39 : 6
« …Voici, Tu as strictement limité le nombre de mes jours »…
S’il faut le répéter, toute la Torah, les prophètes, les psaumes et toute l’Ecriture sainte, concernent les œuvres et paroles du Messie.
Faisons donc hardiment l’expérience du comptage total du nombre de ses jours comme fils d’homme ayant séjourné parmi nous, séjour au tombeau y compris.
Naissance : Dimanche Pentecôte 6 juin -7.
Résurrection : Dimanche 13 avril 27, jour de la Gerbe des prémices d’épis verts, trois jours et trois nuits après sa mort au soir du 9 avril 27.
Différence entre ces deux dates remarquables : 12.000 jours exactement ! Pas un de plus, pas un de moins ! Fin de la parenthèse.


Encore un hasard ?C’est ce qu’on va rétorquer dans les milieux sceptiques, incrédules et contempteurs.
Mais pour ceux qui sont friands du hasard (qui d’ailleurs n’existe pas !) et se servent de cette notion pour expliquer tout, recherchons sur le calendrier quelle fut la date de sa conception.


Serait-il possible que ce jour soit aussi une date remarquable dans le calendrier des fêtes ? Car dans ce cas, je suppose que nous allons donc, à partir de la Pentecôte de l’an -7 remonter le temps de neuf mois pour dater sa conception ?
Soyons même plus précis, n’importe quel dictionnaire de la médecine chiffre la durée d’une grossesse normale à 273 jours, soit 39 semaines.
Remontons donc 273 jours en arrière sur le calendrier à partir de la Pentecôte 6 juin -7, neuvième jour du troisième mois. Encore une surprise !
En effet, nous tombons sur le premier jour du 7ième mois, 5 septembre -8, jour du Zikaron Troua, fête sacrée et solennelle des Acclamations ou Mémoire d’Ovation. Le mot ovation rappelle curieusement le mot ovin : l’Agneau.
Fête solennelle, ignorée par toutes les religions, y compris la religion traditionnelle juive qui l’a remplacée par le « nouvel an », le « Rosh Hashana », pure fantaisie civile et folklorique avec pour effet la dissimulation de la vraie fête, dont on a renoncé depuis longtemps à comprendre la signification.


Que signifie cette Mémoire d’Ovation, d’Acclamations ?On peut imaginer ce qui s’est exprimé comme émotion dans les lieux célestes lorsque la Parole, la Droite de Dieu a décidé de se faire chair, fils d’homme pour accomplir sa propre Loi et sauver le monde en voie de perdition. Ceci, en sachant d’avance ce qu’il allait devoir endurer de la part des siens, du peuple qu’il a choisi pour y naître.
Par son sacrifice volontaire et total, il va sauver sa création et empêcher que la terre entière soit frappée d’interdit.

Job : 38 : 6 et 7
« … Qui en a placé la pierre angulaire, alors que les étoiles du matin éclataient en chant d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? »
Jean 1 : 1 à 5
Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.
Elle était au commencement avec Dieu.
Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle.
En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.
La lumière luit dans les ténèbres et les ténèbres ne l’ont point reçue.

Esaïe 53 : 5
Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.

Malachie 3 : 6
Il (Elie) ramènera le cœur des pères à leurs enfants, et le cœur des enfants à leurs pères, de peur que je ne vienne frapper le pays d’interdit
. (Les témoins seront animés de l’esprit d’Elie).

L’Eternel a d’avance vu tout le film de la comédie humaine et a dicté sa Loi, en fixant les dates des rendez-vous solennels d’une manière parfaitement précise et prémonitoire. C’est tout simplement prodigieux !
Cela commence à faire une série impressionnante de hasards et de coïncidences !
Notons qu’une lecture un peu attentive du premier chapitre de Luc ne peut que confirmer ce qui vient d’être établi sur la date de sa conception. Le but de cette enquête est d’inviter tout un chacun à prendre connaissance librement de la Bible. Pas de la réécrire!


Ne va-t-on pas à nouveau sourire ironiquement dans les milieux sceptiques à l’idée qu’une vierge ait pu devenir enceinte quand on pense aux lois de la génétique ?
Les lois de la génétique dicteraient-elles au Dieu vivant ce qu’Il doit faire, Lui qui a fait les gènes ?
Si le Maître de la vie et de la matière est véritablement tout puissant et omniscient, s’Il annonce d’avance cet épisode comme un signe de sa part par la bouche du prophète Esaïe, selon vous, que lui serait-il plus aisé de faire, entre autres prodiges ? Rendre enceinte une fille vierge ?
- Ou rendre enceinte Sara, épouse d’Abraham, âgée de 100 ans ?
- Ou bien faire traverser à pieds secs 600 000 Hébreux après avoir fait une tranchée dans les eaux de la mer rouge ?
- Ou faire parler une ânesse pour arrêter la démence de son maître ?
- Ou faire flotter du fer dans l’eau ?
- Ou ralentir la course du soleil ?
- Ou ressusciter Jonas, ou le fils de la veuve de Sarepta, ou Lazare dont le corps sentait déjà.
- Etc.… Etc.
- Ou bien, tant que l’on y est, créer le ciel et la terre et la mer et tout ce qui s’y meut ?

Extrait du " Pénitent", roman de I.B. SINGER:
« Si quelqu’un trouvait une montre sur une île déserte et prétendait qu’elle s’est faite toute seule ou que c’est un produit de l’évolution, on le traiterait de fou. Cependant, d’après la science moderne, l’univers a évolué tout seul. Serait-il moins compliqué qu’une montre ? »
Que penser de la divinisation de Myriam selon certaines doctrines religieuses ?
Myriam mit au monde son fils premier-né. Il n’est pas demeuré fils unique mais a été suivi de plusieurs frères et sœurs. Il suffit de lire les Evangiles pour en prendre connaissance, sans se laisser embarquer dans des interprétations quelconques.

Que diable, c’est le cas de le dire, peut justifier une doctrine dogmatique sur la virginité perpétuelle de Myriam dans ces conditions ? La mère d’un fils, même unique, peut-elle rester vierge et a fortiori si elle devient mère d’une famille nombreuse ? Un peu de sérieux s’il vous plaît !

Et pourquoi faire une fixation sur la virginité comme symbole de toutes les vertus, face au Dieu créateur de l'homme, de la femme et de leur sexe? (Avec le bon conseil de s’en servir)

Dieu seul sait quelles arrières pensées ont conduit des dignitaires religieux à concevoir ce dogme idolâtre qu’est la mariologie.

Il y a beaucoup de raisons d’ironiser sur ce sujet, mais ne gaspillons ni notre temps ni le papier.
D’ailleurs ce culte à la « mère de Dieu » n’est pas propre aux Catholiques romains. Les Hébreux pratiquaient une idolâtrie du même acabit au temps de Jérémie (lire le chapitre 7) lorsqu’ils rendaient un culte à la « reine des cieux ». Les deux expressions se valent bien dans le ridicule.
Myriam, à qui une grâce a été faite d’être la mère du Messie était, certes, une sainte de son époque, car respectueuse de la loi de Moïse, mais une femme comme les autres.
Laissons la donc, comme tous les autres élus des quatre vents, dormir dans la poussière de la terre jusqu’à la première résurrection.
D’ailleurs, ceux qui savent lire les Evangiles pourront apprendre que la mère de Yéshoua, ses frères et ses sœurs, à certains moments ont même éprouvé comme de la honte à cause de Lui. Ils l’ont tous, eux-mêmes, pris pour un fou !...

Marc 3 : 21
Les parents de Yéshoua, ayant appris ce qui se passait, vinrent pour se saisir de lui ; car ils disaient : « Il est hors de sens ! ».

Matthieu 12 : 46 à 50
Comme Yéshoua s’adressait encore à la foule, voici, sa mère et ses frères, qui étaient dehors, cherchèrent à lui parler.
Quelqu’un lui dit : « Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler.
Mais Yéshoua répondit à celui qui le lui disait : « Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? »
Puis, étendant la main sur ses disciples, il dit : «Voici ma mère et mes frères, car, quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. »

Matthieu 13 : 53 à 58
Lorsque Yéshoua eut achevé ces paraboles, il partit de là.
S’étant rendu dans sa patrie, il enseignait dans la synagogue, de sorte que ceux qui l’entendirent étaient étonnés et disaient : « D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles ? N’est-ce pas le fils du charpentier ? N’est-ce pas Marie qui est sa mère ? Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères ? Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes parmi nous ? D’où lui viennent donc toutes ces choses ? »
Et il était pour eux une occasion de chute.
Mais Yéshoua leur dit : « Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie et dans sa maison. »
Et il ne fit pas beaucoup de miracles dans ce lieu, à cause de leur incrédulité.
Ce qui confirme que nul n'est prophète en son pays !
C'est même pire que cela.
Jusqu’au bout du tunnel, dans ce monde tordu, le destin de la vérité est d’être d’abord ridiculisée, puis foulée aux pieds,… avant d’être finalement admise.

Guy BEART l'a aussi chanté :
« Le premier qui dit se trouve toujours sacrifié.
D’abord on le tue puis on s’habitue
On lui coupe la langue, on le dit fou à lier
Après sans problème, parle le deuxième… »
Il faut bien comprendre que c’est en tant qu’homme, comme fils d’homme, et non comme Dieu déguisé en homme, que le Messie a enduré sur sa personne toute l’adversité du monde de Satan. C’est par son obéissance, soutenue pendant tout son parcours par amour pour le Père, qu’il a vaincu le monde et la mort. Il est le seul, jusqu’à présent, à avoir gagné et mérité pleinement sa nature divine, comme Fils.
Il n’est donc pas question d’accepter les cultes de la vierge pas plus que des saints du Paradis. N’y allons pas par quatre chemins : toutes ces fausses doctrines ne sont sous-tendues que par des déviances mentales inspirées par le Malin. Les saints sont des vivants de tous temps, notamment des temps de la fin.

Apocalypse 13 : 7
« Il lui fut donné (à la bête) de faire la guerre aux saints et de les vaincre. »
Comment pourrait-on vaincre des gens morts et enterrés, qui mangent les pissenlits par les racines depuis longtemps et dont, pour la plupart, il ne reste plus rien puisque transformés par le cycle du carbone ?

Profitons ici de l’occasion pour affirmer que le culte des morts, largement répandu dans ce monde aberrant, est encore une déviance mentale proche de l’abomination. Si Dieu avait approuvé qu’on aménage des cimetières ou des mausolées, Il aurait au moins ordonné qu’on en construise un pour Moïse.


Revenons à présent sur une question précédente, à savoir : comment rechercher une année jubilaire connue afin de situer dans l’avenir, par extrapolation, l’année où la terre entrera dans le Shabbat millénaire ?
Le Shabbat millénaire sera inauguré par la 120ième et dernière année jubilaire, clôturant les 6000 ans.
Ce dernier jubilé sera, rappelons-le, le seul qui aura été respecté sur toute l’Histoire.

Selon la Torah, la Loi de Moïse, la proclamation, l’annonce de l’année jubilaire doit se faire le jour des Expiations de l’année précédente, à la fête solennelle du Kippour (Lire Lévitique 25).
C’est donc le dixième jour du septième mois, le jour du jeûne de l’an 24, première année de son ministère, que dans une synagogue de Nazareth, Yéshoua accomplit cette proclamation et leur tient un langage qui lui vaut déjà d’être menacé de mort par son auditoire.
Ce qu’il leur dit :

Luc 4 : 18 et 19
« L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres…Pour proclamer une année de grâce du Seigneur. »
sont les paroles d’Esaïe au chapitre 61, de la proclamation du jubilé.
L’an 25 qui suivait, devait donc être une année jubilaire, il doit être considéré comme le vrai an 4000 de toute notre Histoire de 6000 ans.
Le Messie, le second Adam, paraît 4000 ans après que le premier, celui qui a échoué, devint une âme vivante dans le jardin d’Eden.

Ouvrons ici encore une parenthèse. C’est très probablement au début de l’an 25 qu’il chasse les banquiers et trafiquants du temple, à cause du jubilé non respecté. Il se devait d’accomplir ce nettoyage et n’a agi d'ailleurs de la sorte qu’une seule fois sur les trois ans de son ministère.
La vérité ayant ceci de particulier de n’être pas agréable à entendre, on comprendra que le Messie juif a dû considérablement empirer sa réputation de trouble fête.

Il ne serait pas étonnant qu’il ait accompli ce geste le dixième jour du premier mois de l’an 25 car dès ce moment, les prêtres corrompus qui composaient le Sanhédrin et l’aristocratie de temple, vautrés dans les privilèges, ont dû entre eux, le désigner déjà comme l’homme à abattre : il était à ce moment précis l’Agneau d’un an sans défaut. (Exode 12 : 3 et 5).

Suivi et écouté par le petit peuple, il constituait pour tous ces V.I.P. de l’époque, une menace sérieuse pour leur position dominante pendant la dure occupation romaine, pour laquelle ils affichaient une complicité servile, comme le montrent les passages suivants :

Jean 19 : 12 et 15
-Dès ce moment, Pilate cherchait à le relâcher. Mais les Juifs criaient : « Si tu le relâches, tu n’es pas ami de César. Quiconque se fait roi se déclare contre César ».

...........


-Mais ils s’écrièrent : « Ote, ôte, crucifie-le ! »
Pilate leur dit : « Crucifierai-je votre roi ? »
Les principaux sacrificateurs répondirent : « Nous n’avons de roi que César ».

Luc 23 : 2
Ils se mirent à l’accuser, disant : « Nous avons trouvé cet homme excitant notre nation à la révolte, empêchant de payer le tribut à César, et se disant lui-même le Messie, roi. »

Actes 24 : 1 à 6
Cinq jours après, arriva le souverain sacrificateur Ananias, avec des anciens et un orateur nommé Tertulle. Ils portèrent plainte au gouverneur contre Paul.
Paul fut appelé, et Tertulle se mit à l’accuser, en ces termes :
« Très excellent Félix, tu nous fais jouir d’une paix profonde, et cette nation à obtenu de salutaires réformes par tes soins prévoyants ; c’est ce que nous reconnaissons en tout et partout avec une entière gratitude. Mais, pour ne pas te retenir davantage, je te prie d’écouter, dans ta bonté, ce que nous avons à dire en peu de mots.
Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi tous les Juifs du monde, qui est chef de la secte des Nazaréens, et qui même a tenté de profaner le temple. Et nous l’avons arrêté. Nous avons voulu le juger selon notre loi… »
Donc, si l’année 25 était un jubilé, l’année 2025 sera le dernier jubilé en année butoir ! Ces chiffres font froid dans le dos mais en même temps ravivent un espoir depuis longtemps étouffé.
Mais la question qu’on est en droit de se poser est : comment la planète, malmenée comme elle l’est, pourra-t-elle tenir encore aussi longtemps ?
En effet, la question est pertinente. Tous les signes tels qu’annoncés (ainsi que leur cause) commencent à surgir sous nos yeux : tremblements de terre quasi quotidiens (car l’iniquité règne), phénomènes climatiques incontrôlables et dévastateurs, guerre mondiale en gestation, famines effroyables…
Tout ce nouvel art de vivre est à nos portes. C’est pourquoi la promesse de l’Eternel est formelle :

Esaïe 60 : 22
« Je hâterai ces choses en leur temps… »

C’est encore une preuve de sa bonté. Il savait d’avance que la terre entière serait livrée aux mains des puissances de l’argent, maffieux internationaux de toutes sortes et par conséquent vouée, populations et autres créatures comprises, à une fin atroce.


Comment pourra-t-il hâter ces choses ?
Par bonté, l’Eternel va abréger les souffrances en agissant de trois façons possibles à la fois :
1. AVANCER LES EVENEMENTS.
L’Ecriture nous apprend qu’Il a retardé le temps dans le passé, lors d’évènements relatés dans

Josué 10 : 13
Et le soleil s’arrêta, et la lune suspendit sa course, jusqu’à ce que la nation eut tiré vengeance de ses ennemis. Cela n’est-il pas écrit dans le livre du Juste ? Le soleil s’arrêta au milieu du ciel, et ne se hâta point de se coucher, presque tout un jour.

2 Rois 20 : 9 à 11
Et Esaïe dit : « Voici, de la part de l’Eternel, le signe auquel tu connaîtras que l’Eternel
accomplira la parole qu’Il a prononcée ; l’ombre avancera-t-elle de dix degrés, ou
reculera-t-elle de dix degrés ? »
Ezéchias répondit : « c’est peu de chose que l’ombre avance de dix degrés ; mais plutôt,
qu’elle recule de dix degrés… »

Esaïe 38 : 8
« Je ferai reculer de dix degrés en arrière avec le soleil l’ombre des degrés qui est
descendue sur les degrés d’Achaz ». Et le soleil recula de dix degrés sur les degrés où il
était descendu.

Si retard il y a eu, alors une certaine avance compensatoire est à venir, réservée pour le temps de la fin.
Peut-être 10 ans ou 11 ans si on ajoute « le jour » de Josué. Auquel cas, l’entrée dans le grand shabbat serait au plus tôt pour 2014 mais rien ne permet de déterminer ce que sera cette avance.
2. FAIRE S'ECOULER LE TEMPS PLUS VITE : même les enfants se rendent compte que le temps galope.

3. NE PAS LAISSER LES EVENEMENTS TERRIBLES SE PROLONGER OUTRE MESURE : ceci est une promesse annoncée formellement dans :

Matthieu 24 : 22
« … Si ces jours n’étaient abrégés, nulle chair ne serait sauvée mais à cause des élus… »


Que va-t-il se passer avant l’entrée du shabbat millénaire ?
C’est en réponse à cette question que se rejoignent et s’accumulent la plupart des passages de la Bible. Le lecteur attentif s’aperçoit que pratiquement tout le texte consiste en prophéties pour le temps de la fin.
Les évènements terribles du temps de la colère vont se concentrer sur la 2ième moitié de la dernière semaine prophétique de 7 ans. Ce temps de grande détresse sera strictement limité à 3 ans et demi, sinon personne ne serait sauvé. Cette promesse est répétée dans trois évangiles et l'Apocalypse de Jean, sans parler de Daniel.
Durant la première moitié de cette dernière semaine de 7 ans, ceux qui ont des oreilles entendront l’avertissement ultime donné par le témoignage. Celui-ci suscitera, en l’espace d’un an, le rassemblement de l’Israël spirituel de Dieu, les 144 000, venus de tous les horizons.
Au terme des 1260 jours qui leur sont impartis, les deux témoins seront assassinés à Jérusalem sur l’ordre de l'homme de la perdition qui aura reçu la puissance de Satan précipité sur terre.

2 Thessaloniciens 2 : 9 et 10
L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes mensongers, et avec toutes les séductions de l’iniquité pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés.

Apocalypse 11 : 7
Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l’abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera…

Apocalypse 12 : 12
Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d’une grande colère, sachant qu’il a peu de temps.

Quand cette dernière semaine de 7 ans commencera-t-elle ?
Si le temps n’est pas avancé, elle débutera au plus tard en 2018, vu que 2025 est la date butoir d’entrée dans le shabbat millénaire. Mais la brutalité de la crise mondiale qui se prépare nous donne à penser que cette semaine est déjà/ou sur le point d'être commencée!!



Que se passera-t-il pendant la première moitié de la semaine ?
Ce sera une phase séductrice de fausse paix, aussi mensongère que rassurante pour ceux qui n’ont pas reçu l’amour de la vérité, pour être sauvés.

Pour décrire cet état d’esprit, citons un passage dû à Gunther SCHWAB (La danse avec le Diable) et examinons-nous :
Le Diable parle :
« Les Hommes sont devenus inertes et stupides. Ils ferment consciemment les yeux et les oreilles et vivent leur vie matérielle avec fatalisme, apparemment sans soucis. De temps en temps, ils reconnaissent une partie des dangers qui menacent leur avenir. Mais ils se désintéressent de tout ce qui pourrait les troubler dans leur quiétude et leur paresse, les faire sursauter dans leur confort d’hommes repus. Ils vivent au jour le jour et sont satisfaits lorsqu’ils peuvent se remplir le ventre et se livrer à leurs plaisirs de pacotilles, surtout quand les affaires marchent. Tout le reste ne les inquiète pas. »L’Apocalypse, dans son chapitre 13 l’annonce.
Remplie d’admiration, la terre entière va donner pleine confiance tout d’abord, au système politique et économique de cette nouvelle donne, puis à l’homme qui va s’imposer comme le dictateur mondial. Ce sera un leader européen, car c’est de ce continent que les êtres les plus malfaisants ont toujours été issus.

Cet homme exercera l'autorité de la première bête : entité régie par ce nouveau système politique, l'Europe dans sa nouvelle forme, l'empire romain ressurgi : le rêve de Nébucadnestar dans Daniel 2.
Mais pendant ce temps là, pendant 1260 jours, les deux témoins parlent, annoncent, avertissent tous ceux qui voudront entendre.

Ils auront en outre le pouvoir de frapper la terre de toute espèce de fléaux (lire Apocalypse 11) comme celui que Moïse a reçu lors des plaies d’Egypte.

Leur annonce va provoquer le rassemblement en terre sainte des 144 000 qui sont les descendants spirituels des 12 tribus d’Israël.

Qui sont ces 144 000 ?
Ceux qui, de tous les coins de la terre, sans distinction de races, vont comprendre, claquer la porte, quitter leur patrie et comme des pierres vivantes, former le peuple à naître, le troisième temple – spirituel cette fois - dont le Messie à son retour glorieux, deviendra la pierre angulaire.

Psaume 118 : 22
La pierre qu’avaient rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l’angle.
Ils sont composés de 12 x 12 000 descendants spirituels des 12 tribus d’Israël, dispersés et rachetés d’entre les hommes, comme des prémices (Voir Apocalypse 14 : 4).

Ce sont ceux qui n’ont pas été trouvés menteurs et qui ne se sont pas souillés avec des femmes c'est-à-dire corrompus spirituellement avec les religions et superstitions.
C’est pour eux que vont s’appliquer les prophéties de :

Esaïe 66 : 7 à 9
Avant d’éprouver les douleurs, elle a enfanté ; avant que les souffrances lui vinssent, elle a donné naissance à un fils. Qui a jamais entendu pareille chose ? Qui a jamais rien vu de semblable ?
Un pays peut-il naître en un jour ? Une nation enfantée d’un seul coup ?

Esaïe 26 : 20
Va, mon peuple, entre dans ta chambre, et ferme la porte derrière toi ; cache toi pour quelques instants, jusqu’à ce que la colère soit passée, car voici, l’Eternel sort de sa demeure, pour punir les crimes des habitants de la terre…

Apocalypse 3 : 10
Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre…
C’est au jour de la Pentecôte qui précèdera la moitié de « la semaine » que le marquage des 144 000 aura lieu à Jérusalem.

C’est la prochaine prophétie liée au calendrier des fêtes sacrées qui doit s’accomplir.

Ezéchiel 9 : 4
L’Eternel lui dit : « Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. »

Pourquoi seulement 144 000 ? Cela paraît injuste !
Hélas ! Cela représente un reste infinitésimal à l’échelle mondiale d’1 personne pour 42 000!
C’est triste de savoir à l’avance qu’il ne s’en trouvera pas plus qui auront osé faire le pari, en y engageant leur confort et leur vie, que Dieu va accomplir sa promesse en interrompant le désastre mondial. Les 144.000 auront intercédé pour les coupables.
Loin de là l’intention pour eux de se planquer ou sauver leur peau. Persécutés, ils vont être voués à l’extermination. C’est par obéissance qu’ils n’auront pas aimé leur vie jusqu’à craindre la mort.

Encore une fois, l'appel de Dieu est lancé pour tous. A prendre ou à laisser. Le choix nous appartient.
Les 144.000 vont y répondre et y engager leur vie.
La grande majorité (la grande foule) se réveillera en voyant le secours apporté par le Créateur à son petit troupeau qui est les prémices de Son église.

Apocalypse 12 : 11
Et ils n’ont pas aimé leur vie jusqu’à craindre la mort.


Pourquoi ce rassemblement?


Cet ultime sursaut d'obéissance à l'appel du Très Haut va se terminer par une Troua (mot mal traduit par Acclamation). Evènement identique à ce qui fut fait devant les murailles de Jéricho avant le jugement de cette ville, par le peuple Hébreu sous la conduite de Josué au chapitre 6.

La date exacte de ce rendez-vous sacré et prophétique est le 1er jour du 7ième mois. Ce moment correspond à l'assassinat des deux témoins, en l'année 2010 au plus tôt et 2021 au plus tard.

Le dictateur mondial qui aura ordonné leur exécution se proclamera carrément Dieu sur terre, en maître absolu et par la puissance de Satan. Déjà depuis la Pentecôte précédente, il aura fait cesser le sacrifice et l'offrande en exerçant une répression contre l'église alors formée.

Le meurtre des deux témoins est l'accomplissement de la prophétie de Daniel, rappelée par Yéshoua dans Matthieu 24, Marc 13, Luc 21 : c'est l'abomination de la désolation. C'est en même temps le signal de la fuite pour les 144000.

Apocalypse 12 : 13 à 15
Quand le dragon vit qu’il avait été précipité sur la terre, il poursuivit la femme qui avait enfanté l’enfant mâle. Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu’elle s’envolât au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d’un temps
. (trois ans et demi).


C’est pendant cette fuite, qu’en plein jour, les deux témoins assassinés et exposés sans enterrement pendant trois jours et demi, ressusciteront au nez de tous.


Apocalypse 11 : 11 et 12
Après les trois jours et demi, un esprit de vie, entra en eux et ils se tinrent sur leurs pieds ; et une grande crainte s’empara de ceux qui les voyaient. Et ils entendirent du ciel une voix qui leur disait :
« Montez ici ! » Et ils montèrent au ciel dans la nuée ; et leurs ennemis les virent. A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre…
Le sens prophétique de la fête solennelle du Zikaron Troua, premier jour du septième mois du calendrier divin, est que les 144 000, rassemblés, vont crier à l’Eternel, qui va les secourir et les faire échapper à l’extermination, juste avant que le monde entre en jugement.


Ce sens est véritable et fait un sort bien mérité à la « nouvelle année » de la tradition rabbinique.


Où situez-vous les 1260 jours du témoignage dans le calendrier ?
Les deux témoins acceptent de donner leur vie. C’est un holocauste, un sacrifice total et volontaire.

Entre le 10ième jour du premier mois, date du choix de l’agneau de l’holocauste et le 1er jour du septième mois, trois ans et demi plus tard, il y a 1260 jours.
Pour constater la chose il faut, bien entendu, faire le comptage de ces jours sur les calendriers naturels en annexe, entre ces deux dates remarquables.


Que se passera-t-il après la résurrection des deux témoins ?
Leur résurrection est concomitante du tremblement de terre qui tue 7000 personnes à Jérusalem et qui sauve les 144 000 en fuite, poursuivis pour être exterminés. Les 1260 jours des témoins sont achevés et les 1260 jours de séjour au désert pour l’église vont commencer :

Apocalypse 12 : 16
Et la terre secourut la femme et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve (les poursuivants) que le dragon avait lancé de sa bouche. Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s’en alla faire la guerre au reste de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage du Messie Yéshoua


Muet de stupeur, le monde entier comprend alors ce qui s’est passé. Dans un silence honteux et imposé de plusieurs jours, il prend conscience qu’il ne reste plus que le jugement et que celui-ci est imminent. Les Juifs savent que ces quelques jours du calendrier sont des jours dits dangereux. Il y a beaucoup à dire là-dessus et ce sujet fera l’objet d’une prochaine étude.

Vient alors, dans la lancée, le jour des Expiations : dixième jour du septième mois.
Le monde commence à expier. La bête, qui n’a pu exterminer l’église en fuite, se retourne sur tous ceux qui, très nombreux, ont compris trop tard ou n’ont pas voulu entendre. Il fera périr des multitudes de gens paisibles qui accepteront d’être maltraités et tués, sachant la rémunération qui les attend après, à commencer par les Juifs eux-mêmes qui reconnaîtront celui qu’ils ont percé.

Apocalypse 1 : 7
« Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra, et ceux qui l’ont percé ; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. »

Daniel 7 : 13
Je regardais pendant mes visions nocturnes, et voici, sur les nuées des cieux arriva quelqu’un de semblable à un fils de l’homme ; il s’avança sur l’Ancien des jours, et on le fit approcher de Lui.

Zacharie 12 : 10
" Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier né"
Tous ceux-là constituent la grande foule qui va périr dans la grande tribulation. Mais tous seront participants de la première résurrection avec, à la clé, la vie éternelle.



Le jugement se déroulera-t-il en un seul jour, le jour de l’Expiation ?
Non. Il commence aux Expiations. La deuxième moitié de la "semaine" peut alors commencer. Ce laps de temps, heureusement limité, verra les pires choses et la plus grande détresse que le monde aura jamais connues et qu’il ne connaîtra jamais plus.

Matthieu 24 : 21
« Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais »
Le tout dirigé par Satan lui-même et ses anges.

Le diable, précipité sur la terre, a investi l’homme du péché, la bête.

Le monde, livré totalement aux puissances du mal, bascule dans le chaos, la guerre civile et religieuse généralisée, la punition finale qu’il s’est d’ailleurs lui-même préparée et qui durera trois ans et demi.

Apocalypse 11 : 18
« …Et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »

Les évènements terribles du temps de la colère s’étaleront jusqu’au septième mois de la dernière année précédant le grand Shabbat, le dixième jour, celui des Expiations, jour où le jubilé de délivrance sera annoncé, le seul, le vrai, l'unique dans toute l'Histoire.

Entre cette toute dernière fête des Expiations et l’entrée dans le repos millénaire, ces quelques mois seront nécessaires pour que les rares survivants sortent de leurs caches et des ruines fumantes.
Les élus des quatre vents, c'est-à-dire ceux de tous les âges qui ont précédé depuis Abel, les élus des 144 000 et les élus de la grande foule qui ont péri dans la grande tribulation et relevés à la première résurrection, auront acquis leur deuxième nature, identique à celle qu’à reçue Yéshoua après sa propre résurrection.

Tous ceux des trois catégories citées ci-dessus seront participants de la première résurrection et n'auront connu que la PREMIERE MORT.


Et le reste ? De qui s’agit-il et qu'adviendra-t-il d'eux?
Pour le savoir, il faut lire ce qui dit le psaume 49 du sort final de ceux qui sont chargés d’embonpoint et ont construit leur confort sur le malheur des autres. C’est en comprenant quel sera leur sort qu'il faut préférer avoir été opprimé qu'avoir été oppresseur dans notre parcours de combattant en ce bas monde.

Mais procédons par ordre.

La bête (l’homme de la perdition) et le faux prophète (l’autorité religieuse qui aura soutenu sa cause) sont, avant l’entrée dans le repos millénaire, anéantis, ainsi que tous ceux qui les auront suivis en collaborateurs. Ce tandem politico-religieux est symbolisé dans Apocalypse 13 : 11
(la bête à deux cornes).

Les rares survivants des évènements cataclysmiques mondiaux et leurs descendants se remettront à vivre et à mourir dans le millénium sur la terre restaurée, soit comme justes, soit comme pécheurs, mais à la différence par rapport au monde actuel, que Satan sera lié jusqu’au bout des mille ans.
Les conditions seront plus favorables car le vrai royaume du Messie, accompagné de ses élus aura commencé pour n’avoir pas de fin.

Apocalypse 20 : 6
« Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! La seconde mort n’a point de pouvoir sur eux : mais ils
seront sacrificateurs de Dieu et du Messie, et ils règneront avec lui pendant mille ans. »


Qu'est-ce que la seconde mort?
Au terme des mille ans aura lieu la deuxième résurrection des justes et des injustes de tous les âges pour le jugement dernier.

Les premiers, morts ignorants mais justes, ou plutôt justifiés par leurs œuvres, recevront leur salaire et la vie éternelle, car leurs œuvres les suivent.

Les seconds, les scélérats de tous les âges, recevront aussi leur salaire car leurs œuvres les suivent aussi. Dieu n’a jamais tenu les coupables pour innocents (parabole du mauvais riche et du pauvre Lazare.)
Sitôt après la deuxième résurrection, le diable qui sera délié pour un peu de temps, agira pour les entraîner avec lui dans son propre jugement.
C’est la seconde mort.


Quelles sont les fêtes restantes et leur signification prophétique?Les deux dernières fêtes sacrées sont les Tabernacles (fête des Souccot ou Cabanes) et le Dernier Grand Jour qui est le huitième jour après la fête des Tabernacles.
Elles clôturent les rendez-vous sacrés annuels, et sont les seules qui seront encore célébrées pendant le shabbat millénaire, pour la bonne raison que toutes les autres auront, prophétiquement et réellement, été vécues et accomplies : Pâque et Pains sans Levain, Pentecôte, Zicaron Troua, Expiations.


Pourquoi une fête dite "des Cabanes"?
Osée 12 : 10
« Je te ferai encore habiter dans des tentes… »

Cette fête solennelle est une prophétie de ce qui doit encore être vécu et accompli.
Car au début du repos millénaire, tous les survivants seront réduits à vivre en cabanes.
Tous les moyens sophistiqués et nuisibles qui auront été amenés par ce cancer monstrueux, cette escroquerie que fut cette civilisation technique et mercantile, auront disparu de la surface de la terre, alors renouvelée.
C’est une fête avant tout de réjouissances car elle correspond aux récoltes, fruits du travail noble qu’est l’agriculture. L’Eternel bénit les récoltes et le travail de nos mains comme Il le promet dans Deutéronome 16 : 15.
Ce retour brutal à une civilisation agraire n'a rien d'effrayant sauf peut-être pour les sous-hommes, bêtes féroces à deux pattes, esclaves de leur gloutonnerie économique.
Aux grands maux les grands remèdes.

Ce n'est que justice après tout. Une génération de pillards jouisseurs et destructeurs ne mérite qu'un retour à la case départ, comme au jeu de l'oie.

De toute façon, un nouveau décor de jardin d'Eden ne sera certes pas pour déplaire, après la raclée que le monde aura subie.

C'est en effet à dos de chameaux, de chevaux et d'ânes que les tribus se déplaceront pour se rendre à Jérusalem rendre gloire au Seigneur de toute la terre s'ils veulent avoir de la pluie et des récoltes.

Zacharie 14 : 18 et 19
« Si la famille d’Egypte ne monte pas, si elle ne vient pas, la pluie ne tombera pas sur elle ; elle sera frappée de la plaie dont l’Eternel frappera les nations qui ne monteront pas pour célébrer la fête des Tabernacles.
Ce sera le châtiment de l’Egypte, le châtiment de toutes les nations qui ne monteront pas pour célébrer la fête des Tabernacles. »


Quelle est la signification de la fête du Dernier Grand Jour?Nous arrivons à la dernière fête solennelle, le 22ième jour du 7ième mois, juste après la fête des Souccot, symbolisant le début du 8ième jour, du renouvellement de toutes choses.
Au terme des mille ans du grand shabbat, au début du 8ième jour, l'Histoire de la condition humaine s'achèvera sous la conduite du Seigneur de toute la terre. Celui-ci va, après la deuxième résurrection, après le jugement dernier dont celui de Gog et Magog, remettre Son œuvre au Père qui sera tout en tous.
C'est la rencontre de l'humanité avec le Très Haut dans la Jérusalem céleste qui descend sur une nouvelle terre.
Un autre décor, une autre nature pour tous.
Le règne universel du Dieu vivant et de ses fils commencera alors.

Esaïe 65 : 17
« Car je crée de nouveaux cieux et une nouvelle terre; on ne se rappellera plus les évènements du début, ils ne remonteront plus à la pensée. »
Apocalypse 21 : 1 – 2
Je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus.
Et je vis descendre du ciel, d'auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, prête comme une épouse qui s'est parée pour son époux.

Jean 7 : 37
Le dernier jour, le grand jour de la fête, Yéshoua debout s'écria (dans le temple) :
« Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive… »

Paroles déjà dites d'avance par :
Esaïe 55 : 1
« Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, même celui qui n’a pas d’argent ! »
Conclusion :
Chacune des fêtes de l'Eternel a constitué, constitue ou constituera une prophétie vivante, vécue par des générations d'hommes.


Voici la fin de la description des sept fêtes de l'Eternel Dieu.
Ici s'arrête cette petite thèse qui s'est efforcée de montrer que l'Eternel, pour communiquer aux hommes son plan, a choisi l'allégorie, les signes, les symboles et les paraboles.

C'est le langage de l'Esprit.

Ces images, fidèles à la réalité, nous révèlent en quelques mots les prophéties du Livre des livres qui est la Bible.

Elles nous conduisent, au moyen de la méditation positive, à la porte étroite de l'accès à la parole de Dieu et à la connaissance de son plan.

Cette connaissance ne peut être ni cachée, ni tronquée, ni interprétée de façon partielle ou partiale.

Bien des allégories restent encore, pour un peu de temps, non expliquées, sans réponse directe.
Nous croyons avoir mis suffisamment l'accent sur celles qui nous sont apparues comme interpellantes.

En se laissant guider au travers des deux alliances, point n'est besoin d'un esprit religieux mais seulement d'un esprit sincère, logique, simple, naturel, empreint de l'amour de la vérité.

Avec un tel et si simple bagage, chacun est invité à explorer l'Ecriture en s'arrêtant avec jubilation intense sur les perles de la vraie connaissance qu'elle procure.


Cherchez l'Eternel pendant qu'Il se trouve.
Invoquez-le, tandis qu'Il est près.









REMERCIEMENTS
Que l'Eternel soit remercié pour la grâce qu'Il a faite à notre petite assemblée de gens ordinaires dont je me suis fait le porte-parole et le rapporteur de ce travail collectif.

Au cours de ces 20 dernières années, au travers des lectures attentives de la Bible, partagées et commentées entre amis à chaque shabbat, nous avons reçu par étapes successives ces quelques révélations que nous faisons connaître à tous ceux et celles qui attendent un message d'espoir, fait de certitude sur le secours que l'Eternel va apporter à ses fidèles serviteurs du temps de la fin, à tous ceux qui croiront encore en Sa bonté, car Lui seul peut et va sauver sa création.

Que ce travail et sa diffusion à l'adresse du plus grand nombre soient bénis par le Très Haut et acceptés par Lui comme une prière, une offrande de bonne odeur comme celle de Marie de Magdala, lorsqu'elle répandit sur Yéshoua tout le contenu d'un flacon de parfum de grand prix, à six jours de sa mort.

Les auteurs de cet ouvrage ont déjà quitté leur patrie pour s'établir en Terre Sainte, au milieu du peuple juif, espérant partager, avec tous ceux qui voudront les rejoindre malgré la précarité et les difficultés que cela implique, la joie immense qui ne saurait tarder, lors de la formation du peuple à naître, du marquage, et du rassemblement des 144.000 pour la Troua.

Psaume 89 : 16
Heureux le peuple des connaisseurs de la Troua.
Mais avant cette ultime Troua, moment de délivrance où le Tout Puissant va soudain sortir de Son silence, agir et secourir Ses serviteurs, beaucoup d’épreuves seront encore à endurer. Il est certain et annoncé qu’il faudra supporter la moquerie, la dérision et le ridicule de la part d’un monde manipulé, par qui nous savons, comme un méchant théâtre de marionnettes.

Le Messie a subi de son temps la même ignominie. Ses serviteurs les prophètes ont eu droit aux mêmes moqueries.
Mais si nous ne sommes que de piètres imitateurs ayant eu des parcours inconstants, cet abaissement en exil volontaire, nous l’avons accepté pour la gloire de notre Créateur, notre Père Céleste, au nom de notre Seigneur Yéshoua le Messie sauveur.





Achevé à Jérusalem, le 10 décembre 2007
Publié sur Blog, le 13 février 2009






3 commentaires:

  1. Merci pour les ensignements tres utiles.

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  2. salut.. tes enseignements sont utiles mais j'aimerais savoir si tu connais les CCG dont le directeur est Wade cox.

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    1. Non, je ne connais ni les ccg ni le directeur Wade cox. Jamais entendu parler. Que veulent dire ces initialles ccg ?

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